Nouvel arrivant dans la gamme NIKKOR Z, le 24 mm f/1.8 S vient répondre aux attentes des photographes adeptes du reportage, de la photo de paysage et d’architecture, et désireux d’utiliser un objectif en monture Z native. Disponible depuis quelques semaines, il n’en fallait pas plus pour vous proposer ce test NIKKOR Z 24 mm qui vous aidera à faire votre choix parmi les 24 mm compatibles avec les hybrides Nikon.
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Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : introduction
Pas vraiment lentement mais sûrement et méthodiquement, Nikon continue à déployer ses focales fixes NIKKOR Z de la série S à destination de ses hybrides à capteurs 24 x 36 mm. En attendant le 20 mm f/1,8 qui viendra boucler « par le bas » cette salve quasiment discontinue, et après des 35 mm, 50 mm et 85 mm oscillant entre le très bon et l’excellent, penchons-nous sur le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S.
Cette focale est d’autant plus stratégique qu’elle fait doublon, et même plutôt quadruplon, dans la panoplie NIKKOR Z actuelle puisqu’elle se retrouve à la fois dans l’exceptionnel NIKKOR Z 24-70 mm f/2,8 S, le standard NIKKOR Z 24-70 mm f/4 S et le redoutable NIKKOR Z 14-30 mm f/4 S.
Si cela ne suffisait pas, en monture reflex F, Nikon lui-même propose l’AF-S NIKKOR 24 mm f/1,8G ED et un plus lumineux AF-S NIKKOR 24 mm f/1,4G ED, quand Sigma s’aligne de son côté avec son 24 mm f/1,4 DG HSM | Art.
La question est donc simple : un grand angle dédié, dont le principal argument est l’ouverture plus généreuse (d’un peu plus d’un diaphragme par rapport à du f/2,8, et d’un peu plus de deux diaphragmes par rapport à du f/4), mérite-t-il que vous lui consacriez les 1199 euros qu’en réclame le constructeur ? Réponse tout de suite dans ce test.
Présentation et contexte
À une époque pas si éloignée (nous parlons quand même de décennies), le grand angle de base était le 28 mm. Avec l’arrivée du numérique et les progrès en termes de calculs optiques, de procédés de fabrication industrielle, la popularité des transtandards, le 28 mm a progressivement laissé la place au 24 mm.
4 mm, cela ne semble rien, et même converti en angle de champ, le passage de 75° à 84° ne semble pas si frappant que cela. Pourtant, ce 24 mm ouvre de nouvelles perspectives aux photographes, à la fois ceux travaillant dans des espaces confinés en intérieur, où cela peut se jouer à quelques centimètres de recul, comme ceux qui sont adeptes d’architecture.
L’autre intérêt du 24 mm est que, par rapport au 28 mm, il est suffisamment éloigné du 35 mm pour ne pas avoir à hésiter entre les deux objectifs, tout en étant, bien sûr, suffisamment distant du 50 mm pour en faire un parfait complément. Par contre, qui dit angle de champ plus large dit aussi perspectives plus subtiles à gérer et, potentiellement, plus de déformations et autres défauts optiques à contrecarrer.
Pour ce faire, justement, le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S sort l’artillerie lourde. Comme l’AF-S NIKKOR 24 mm f/1,4G ED, sa formule comporte 12 lentilles réparties en 10 groupes mais a recours à 4 lentilles asphériques et 1 lentille en verre ED. Sans oublier les traitements nanocristal et ARNEO. Les aberrations géométriques et chromatiques, tout comme les images fantômes, n’ont qu’à bien se tenir.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/20 ème – f/4 – 100 ISO
L’AF-S NIKKOR 24 mm f/1,8G ED, lui, compte également 12 lentilles, mais toujours 2 asphériques et 2 ED. Notons toutefois que les objectifs NIKKOR reflex descendent à 23 cm de mise au point contre « seulement » 25 cm pour le NIKKOR Z, tout comme le Sigma.
À 450 grammes, le NIKKOR Z se situe entre l’AF-S f/1,8 (355 grammes) et l’AF-S f/1,4 (620 grammes), mais si vous comptez utiliser l’un de ces deux derniers sur un hybride Z, il faudra ajouter les 145 grammes de la bague FTZ. Le Sigma, de son côté, culmine à 665 grammes.
En termes de tarif, le NIKKOR Z est bien plus cher que son alter ego reflex : 1199 euros contre 799 euros. Le Sigma s’intercale entre les deux (949 euros) quand l’AF-S f/1,4 se trouve aux environs de 1400 euros.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/500 ème – f/3.5 – 100 ISO
À qui se destine ce 24 mm f/1,8 ?
Les amateurs de grand angle, et plus particulièrement de 24 mm, ont l'embarras du choix chez Nikon, nous venons de le voir. Toutefois, ceux utilisant le NIKKOR Z 24-70 mm f/2,8 S gagneront un peu plus d’un diaphragme et ceux utilisant l’un des deux zooms f/4 gagneront plus de deux diaphragmes.
Sur le terrain, cela fait une différence énorme, notamment en termes de sensibilité puisque vous pourrez avec le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S travailler à 3.200 ISO au lieu de 12.800 ISO, par exemple. L’ouverture généreuse permet également de mieux séparer les plans et, en se rapprochant suffisamment du sujet, d’obtenir de meilleurs flous d’arrière plan.
Il faut donc ajouter aux utilisations classiques d’un 24 mm (reportage, architecture, paysage) la possibilité de quelques portraits contextualisés et la photographie de rue en lumière ambiante, même lorsque celle-ci faiblit. Bien que, dans l’absolu, les aptitudes des boîtiers Z 6 et Z 7 en montée en sensibilité, doublée de la stabilisation mécanique, permettent de gommer l’avantage de l’ouverture plus généreuse.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/125 ème – f/1.8 – 1000 ISO
Qualité de construction
Les focales fixes NIKKOR Z se ressemblent toutes (sauf le Noct-NIKKOR), mais cela commence à devenir une plaisante habitude. Fût noir satiné, large bague de mise au point caoutchoutée et cannelée, nombreux joints d’étanchéité dedans et dehors (au niveau de la monture) : du bel ouvrage, sérieux, mais sans exubérance.
Pas besoin de revenir sur l’absence de bague de diaphragme, de graduation de distance, de touche programmable, vous connaissez déjà probablement la chanson. Notez, au passage, que les filtres utilisés devront mesurer 72 mm de diamètre, contre 67 mm sur le 85 mm f/1,8 et 62 mm sur les 35 et 50 mm f/1,8. Compte tenu du diamètre de la frontale et du pare-soleil, j’aurais apprécié un bouchon mieux maintenu, et verrouillable, comme Samyang en propose sur ses AF 14 mm f/2,8.
Prise en main, stabilisation et autofocus
Bien équilibré, le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S se manipule aisément d’une seule main une fois monté sur le boîtier. La large (et unique) bague permet, tour à tour, d’ajuster la mise au point manuellement (sans butée) ou de corriger l’exposition ou l’ouverture, selon la fonction que vous lui assignez dans les menus.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/6 ème – f/2 – 3.200 ISO
La stabilisation, confiée au boîtier, permet de descendre bien en-dessous du 1/25 ème de seconde et, avec un peu d’entraînement, vous aventurer autour du quart de seconde. C’est toujours aussi bluffant.
L’autofocus n’est pas en reste. Précis, rapide, silencieux, il faudra juste tenir compte des spécificités du grand angle et, surtout en multipoint, faire bien attention à l’endroit où le boîtier décide de faire le point, donc le collimateur sélectionné automatiquement. La profondeur de champ, même à f/1,8, permettra cependant dans une certaine mesure de gommer les légers décalages de mise au point.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/40 ème – f/2.8 – 200 ISO
Performances optiques : pique, homogénéité et flare
Tester le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S sur le très exigeant capteur du Z 7 permet de le pousser dans ses retranchements. Et force est de constater que même 45,7 Mpx ne lui font pas peur et que la complexe formule optique n’est pas là juste pour faire joli sur la fiche technique.
Dès la pleine ouverture, le centre est déjà très bon, devient excellent à f/2,8 et exceptionnel à f/5,6. Les coins extrêmes, en retrait à f/1,8 mais se défendant déjà fort bien, égalent presque le centre et la périphérie dès f/4. Suffisant pour écrire que cet objectif n’a aucun problème d’homogénéité, ce qui plaira aux photographes de paysage et d’architecture. Comme d’habitude, il faudra faire attention à la diffraction à f/11 et f/16 (ouverture minimale), qui dégrade la qualité d’image.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/160 ème – f/1.8 – 1000 ISO
Le traitement ARNEO, couplé au traitement nano-cristal, permet de se jouer du flare et des contre-jours.
Même avec un éclairage violent et ponctuel de face, l’objectif ne bronche pas et est exempt de reflets parasites et d’images fantômes.
Vraiment impressionnant et rassurant, surtout pour l’angle de champ considéré. Là encore, les photographes de paysage apprécieront, ainsi que les amateurs de photographie de rue nocturne.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/8 ème – f/1.8 – 2.000 ISO
Performances optiques : déformation et distorsion
Oubliez les 24 mm déformant légèrement l’image (généralement en barillet) : le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S est parfaitement corrigé. Tout est droit : les horizons sont horizontaux, les verticales sont verticales. En fait, le plus grand problème, ce sera le photographe, qui pourra légèrement pencher d’un côté ou de l’autre (généralement à droite lors du déclenchement).
La parfaite correction de ce grand angle permet de jouer avec les fuyantes, que vous optiez pour un cadrage en plongée ou en contre-plongée. Vraiment agréable et ludique. Les amateurs d’architecture se régaleront !
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/40 ème – f/3.2 – 2.500 ISO
Performances optiques : rendu des couleurs, aberrations chromatiques et vignettage
Passons rapidement sur la neutralité des couleurs, habituelle sur cette série d’objectifs et dépendant de toutes manières grandement du profil « Picture Control » sélectionné, qui influe grandement sur la gestion des couleurs et du contraste. Concentrons-nous plutôt sur les aberrations chromatiques, qui sont une excellente occasion de rappeler l’importance que donne Nikon à l’imagerie computationnelle sur ses hybrides.
Pour rappel, l’imagerie computationnelle, qui consiste à confier à l’informatique du boîtier la correction de certains défauts optiques, n’est pas complètement nouvelle. Ce qui l’est, par contre, est de développer sciemment les objectifs en leur laissant des défauts faciles à ajuster ensuite, afin de réduire les coûts de production et donc le tarif final, sans pour autant faire de sacrifice du côté du pouvoir résolvant (piqué et homogénéité), comme nous l’avons vu dans la partie précédente.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/60 ème – f/1.8 – 2.000 ISO
Si je me permets ce petit laïus, c’est parce qu’avec le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S les corrections des aberrations chromatiques directement dans le boîtier sont particulièrement saisissantes et puissantes, et même meilleures que celles que vous obtiendriez sur votre logiciel de dérawtisation préféré.
Les deux exemples ci-dessous sont de très bonnes illustrations de la correction interne des aberrations chromatiques, lesquelles apparaîtront surtout dans les zones combinant très fort contraste et fins détails :
Attention toutefois, ces petites corrections locales ont également un impact sur le rendu global de l’image. Les deux extraits ci-dessus viennent d’une image plus large, capturée en NEF + JPEG, pour laquelle nous disposons donc de deux versions directement produites par le boîtier :
Comme vous pouvez le constater, les aberrations chromatiques au niveau des branchages sont bien visibles sur l’image en NEF, avec leurs liserés magentas. En termes d’exposition, cette version est légèrement plus sombre mais les nuances orangées du ciel sont préservées.
Dans la version JPEG corrigée par le boîtier, les liserés magenta ont disparu, les branches sont plus agréables à regarder. Simultanément, les ombres ont été légèrement éclaircies, ce qui donne un rendu plus flatteur. Toutefois, les nuances orangées du ciel sont passées à la trappe.
Toutes ces variations sont d’autant mieux perceptibles avec un 24 mm qui, du fait de son large angle de champ, capture plus facilement dans un même cadre des zones aux contrastes différents. Par extension, les différents modes d’exposition (multizone, pondérée centrale, spot) seront à manipuler avec minutie.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/20 ème – f/1.8 – 2.000 ISO
Et le vignettage ? Celui-ci est visible à f/1,8 jusqu’à f/2,8, aussi bien en NEF qu’en JPEG, puis devient très léger voire imperceptible au-delà de f/4. Là encore, la correction automatique appliquée par le boîtier est très efficace, et vous pourrez en moduler l’intensité selon vos besoins et préférences esthétiques. Rien de vraiment dérangeant, donc, surtout pour ce genre de grand angle.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/20 ème – f/4 – 100 ISO
Rendu optique : profondeur de champ
Même s’il ouvre à f/1,8, ce NIKKOR Z 24 mm S n’a pas vocation à être un roi du bokeh, d’autant plus qu’il a une profondeur de champ minimale un peu plus éloignée que ses homologues reflex (25 cm contre 23 cm). Cela n’a pas empêché Nikon de le munir d’un diaphragme électromagnétique circulaire à 9 lamelles, le nouveau standard. Il en résulte un flou d’arrière plan très doux, sobre et progressif, qui plaira au plus grand nombre.
Encore plus qu’avec les 35, 50 et 85 mm, j’aurais vraiment apprécié la présence du même petit écran OLED que sur les Z 24-70/2,8 et Noct-NIKKOR Z 58 mm f/0,95 afin d’y faire figurer une échelle de profondeur de champ. Celle-ci aurait pu être utile en mise au point manuelle, tout particulièrement en vidéo.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/15 ème – f/2.2 – 2.000 ISO
Le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S peut vous intéresser si :
- vous souhaitez un 24 mm plus lumineux que les zooms,
- vous cherchez un grand angle très bien corrigé pour du reportage, de l’architecture et/ou du paysage,
- vous souhaitez compléter votre NIKKOR Z 35 ou 50 mm f/1,8 S,
- vous souhaitez un équipement 100 % NIKKOR Z sans passer par la bague FTZ,
- vous souhaitez un équivalent 35 mm f/1,8 pour votre Nikon Z 50 (APS-C).
Le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S va moins vous intéresser si :
- vous avez besoin d’un grand angle compact (préférez alors le zoom 14-30 mm),
- vous espérez une version f/1,4 (qui n’est pas encore prévue).
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 1/2.000 ème – f/2.8 – 200 ISO
Toutes les photos de cet test en pleine définition sur le compte Flickr Nikon Passion :
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : ma conclusion
Les focales fixes NIKKOR Z de la série S se suivent, se ressemblent, et c’est tant mieux !
Une fois de plus, le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S confirme le haut niveau de performance de la famille et prolonge l’homogénéité du rendu d’un objectif à l’autre. Ah, les bons côtés d’objectifs de même génération… La contrepartie est que, tout comme les 35, 50 et 85 mm, l’ergonomie épurée, réduite au minimum syndical, pourrait décevoir les photographes aimant les objectifs communiquant plus de sensations.
Du strict point de vue des prestations optiques, le NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S est un ajout très appréciable pour quiconque possède déjà le zoom NIKKOR Z 14-30 mm f/4 S ou une focale fixe (35 ou 50 mm). Au premier il apporte la luminosité sans faire doublon, au second il élargit l’angle de champ et les possibilités photographiques.
Test NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S : 3 sec. – f/4 – 100 ISO
Redoutable en architecture, reportage, paysage, il permet de s’amuser tout en étant efficace. Toutefois, si vous possédez déjà le NIKKOR Z 24-70 mm f/2,8 S, ce 24 mm dédié risque de faire doublon et vous perdrez en ergonomie et polyvalence ce que vous gagnerez en luminosité, laquelle est vite compensée par l’efficacité de la stabilisation et des hautes sensibilités des boîtiers Nikon Z FX.
Sur un Nikon Z 50 à capteur APS-C (ou n’importe quel futur hybride Nikon APS-C), ce NIKKOR Z 24 mm f/1,8 S pourra être particulièrement intéressant puisqu’il formera un équivalent 35 mm f/1,8 (en fait, plutôt un 36 mm f/1,8), soit une focale standard du reportage.
Le capteur APS-C aura en plus pour bénéfice de ne pas tenir compte des coins extrêmes sur lesquels l’objectif est le moins bon (légère baisse de piqué et vignettage), pour ne garder que la meilleure partie. Attention, toutefois, au déséquilibre physique, l’objectif étant assez gros par rapport à un boîtier Z 50, et à l’absence totale de stabilisation (à moins que Nikon ne sorte prochainement un hybride Z DX stabilisé).
En savoir plus sur la gamme Nikon NIKKOR Z sur le site Nikon
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Un 18-140 Z est prévu pour 2020 …
Merci pour l’info.
Un 18-140mm , pour Z6, Z7 ? qui ouvrirait à combien ? Merci si vous avez la réponse , pour mon Z6 j’attends « LE » cailloux idéal à mon propre usage , beaucoup de photos de concerts . L’idéal serait donc une ouverture F/2.8 ou max F/4 , avec cette amplitude 18-140 ce serait génial (si le poids et le prix restent abordables bien sûr) on peut toujours rêver n’est ce pas ? 🙂
18-140 Z stabilisé Aps c prévu pour le Z50 je pense …
Très bon test et très bonne optique dans la lignée de ce que produit habituellement(et depuis très très longtemps Nikon)
J’ai bien sûr, et je m’en excuse auprès d’autrui, des exigences particulières, liées à mon utilisation « spécifique ». Aussi, si quelqu’un à une info le dessus, sur les futurs objectifs de la gamme Z DX , je serai très intéresse.
En effet, je suis obligé de réduire à la fois l’encombrement, le prix aussi (hélas on n’y peut rien) et tenir aussi compte de mes utilisations personnelles ( entre-autres faire le maximum de prises de vues avec le même objectif, sans pour autant sacrifier à la qualité). J’avais acquis avec le D7200 un objectif qui me convenait parfaitement, très polyvalent pour moi , le Nikkor AF-S 18-105 f/3.5-5.6G ED et en étant totalement satisfait, je l’ai gardé quand j’ai acquis le D500. Lors de l’achat de mon Z50 avec bague FTZ, et les deux optiques 16-50 f 3.5-6.3 et 50-250 f 4.5-6.3, j’ai constaté que si le 16-50 est un super objectif, il est un poil trop ouvert en angle de champ compte tenu de mes utilisations, et je n’aime pas trop changer souvent, car je crains le sable ou autres poussières ou embruns habitant en bord de Mer. Ma question est donc de savoir si au programme spécifique objectifs Z DX, Nikon à quelque chose dans ses cartons(18-105, 18-140, etc) Merci pour toutes réponses à ce sujet
en fait comme vous le savez le format .nef n est pas un format de photo mais format informatique.Il n est donc pas directement visible.
Il faut donc nous dire dans quel format vous l avez révélé et surtout avec quel logiciel…
En général les logiciels de la marque sont plus adaptés et expliquent les choix du mm fabricant.