Nikon et la photo, c’est une histoire qui dure puisque la marque Nikon a eu 100 ans le 25 juillet 2017 très exactement, mais les célébrations de ce siècle d’existence ont démarré en début d’année et se sont poursuivies pendant plusieurs mois. Retour sur une longue histoire dans laquelle il n’y a pas que de la photo.
Nikon a 100 ans, un peu d’histoire
Tout commence par une fusion
L’histoire de Nikon démarre officiellement le 25 juillet 1917. Cette année-là, à la demande du gouvernement japonais qui veut rivaliser avec les entreprises allemandes, les fabricants d’optiques Tokyo Keiki Seisaku Sho et Iwaki Glass Manufacturing fusionnent avec Fujii Lens Seizo Sho.
Le siège de Nippon K.K. à ses débuts au 120 Haramachi, Koishikawa-ku, Tokyo – Photo (C) Nikon Corp.
Ces entreprises leader sur leur marché vont désormais évoluer ensemble sous le nom de “Nippon Kōgaku Kōgyō”. L’entreprise qui ne s’appelle donc pas encore Nikon est une filiale du groupe Mitsubishi, un des principaux groupes industriels japonais.
La production d’optiques Nippon K.K. commence en 1918. Nikon fournit alors principalement du matériel militaire. En 1923 un laboratoire de recherche dédié à l’optique voit le jour, tandis que le premier microscope estampillé Nikon arrive en 1925.
Les années 30 et les optiques Nikkor
A partir de 1932 les optiques Nippon K.K. sont produites sous le nom Nikkor. C’est le nom actuel de la gamme d’objectifs Nikon, d’où les appellations Nikon AF-S Nikkor.
Four de fusion de 500 kg pour la fabrication des optiques Nikon – Photo (C) Nikon Corp.
L’entreprise Seiki Kogaku (qui deviendra plus tard Canon) propose en 1935 le tout premier appareil photo compact 35 mm japonais. Si le boîtier est bien un Canon, l’objectif est conçu et fabriqué par Nippon K.K.. Le mot Nikkor est d’ailleurs gravé sur l’optique.
L’après-guerre et les télémétriques Nikon S
Après guerre les boîtiers télémétriques ont la faveur des photo-reporters qui apprécient leur compacité et leurs performances. Nippon K.K. doit réorganiser ses activités et délaisser le matériel militaire, ce sera les verres de lunettes et la photo !
Concurrent annoncé des marques allemandes, Nippon K.K. propose son tout premier appareil photo, le Nikon I (pour Industrie) en 1948. La gamme sera vite complétée des modèles Nikon S dont la carrière s’arrêtera en 1957 avec l’arrivée du mythique reflex Nikon F.
Nikon S télémétrique – collection Nikon Passion
En décembre 1950, un article du New-York Times met déjà en avant la grande qualité des boîtiers Nikon et des optiques Nikkor utilisées par les photos journalistes américains durant la guerre de Corée.
David Douglas Duncan, photo-reporter de guerre, couvre le conflit coréen et découvre les télémétriques Nikon S qu’il préfère très vite aux Leica : piqué et contraste des optiques ont sa faveur, ses images font la Une du magazine Life, la réputation de Nippon K.K. est établie.
Années 50, la saga des Nikon S
Nikon continue d’innover et introduit en décembre 1953 son premier microscope stéréo de même que le boîtier télémétrique Nikon S2. Ce télémétrique est le premier boîtier 35 mm japonais à disposer d’un levier d’avance rapide du film (le Nikon S dispose d’une simple molette).
Nikon S2 télémétrique – collection Nikon Passion
Le Nikon SP entre dans la légende en 1957. C’est le premier boîtier à disposer d’un système à couplage de motorisation de l’avance du film ainsi que d’un obturateur plan focal en titane.
Nikon F, le reflex en approche
1959 est une année charnière pour Nippon Kogaku qui annonce son reflex Nikon F. Ce boîtier désormais mythique reprend bon nombre de composants du Nikon SP mais apporte la visée reflex et, surtout, la monture F.
La monture F est toujours en usage aujourd’hui, c’est la monture ayant la plus longue durée de vie dans le monde de la photo et qui reste compatible avec les boîtiers et optiques récents. Les optiques Nikkor d’époque sont toujours utilisables sur certains boîtiers Nikon actuels comme le Nikon Df.
Reflex Nikon F Apollo – collection Nikon Passion
Les optiques Nikon, l’ADN de la marque
A la fin des années 50, Nippon K.K. fournit en optiques la marque Zenza Bronica pour ses boîtiers moyen format. La gamme Nikkor (qui vient de passer le cap des 100 millions d’unités produites ces derniers mois) voit arriver trois objectifs inédits en 1962 :
- le Nikkor 35 mm f/ 3.5 PC, premier objectif à décentrement pour boîtier 35 mm
- le Nikkor 8 mm f/8 fish-eye
- le Medical Nikkor 200 mm f/5.6, premier objectif intégrant un flash annulaire pour la photographie rapprochée.
Je suis … sous l’eau
Reflex Nikonos I – Photo et collection Thierry Parent – Nikon Passion
Toujours soucieuse d’étoffer sa gamme de boîtiers et de répondre aux besoins de tous les photographes, Nikon s’approprie le brevet français des boîtiers étanches Calypso en 1963. C’est la naissance de la gamme Nikonos qui va rencontrer un énorme succès en photographie sous-marine.
De nos jours les seuls Nikon étanches sont le compact Coolpix AW130 et l’hybride Nikon 1 AW1.
Je suis … dans l’espace
La NASA veut profiter de ses missions Apollo pour rapporter des clichés de l’espace et de la terre. C’est à Nippon K.K. qu’elle confie le soin de lui proposer des boîtiers compatibles avec les vols spatiaux.
Nikon D4s et objectifs utilisés à bord de la station spatiale internationale – © ESA/NASA
Une version modifiée du Nikon F accompagne chaque vol Apollo. C’est le début de la conquête spatiale par Nikon puisqu’en 1983 plusieurs boîtiers Nikon sont utilisés par les astronautes du Skylab. Et en 2017 Thomas Pesquet utilise des Nikon D4s dans l’ISS.
Des reflex pour tous
La photographie se démocratise dès les années 60 et Nippon K.K. complète sa gamme pro par un modèle moins onéreux mais guère moins performant, le Nikkormat. Les différents modèles de Nikkormat vont accompagner amateurs et experts pendant de longues années avant de céder leur place.
Reflex Nikon Nikomat (version japonaise du Nikkormat) – collection Nikon Passion
L’arrivée de l’électronique
Les progrès de l’électronique en matière de miniaturisation permettent à Nippon K.K. d’intégrer les premiers composants dès la fin des années 70. Dans la gamme Pro le Nikon F3 prend la suite du Nikon F2, c’est le tout premier Nikon à disposer de composants électroniques.
Le Nikon F3AF permet à la marque de mettre au point l’autofocus. Cette innovation sera pleinement officialisée en 1986 avec le F501, premier modèle reflex autofocus largement diffusé.
En 1983, le Nikon FA est le successeur des Nikon FM et FM2 et le premier boîtier Nikon à disposer de la mesure de lumière matricielle.
Reflex Nikon FM2 et FA – collection Nikon Passion
1988 : Nippon Kogaku devient Nikon Corporation
En 1988 la société Nippon Kogaku change de nom pour « Nikon Corporation ».
Nikon Corp. ne s’endort pas sur ses lauriers et annonce l’année suivante le Nikon F4. Ce reflex Pro monobloc est tellement apprécié dès sa sortie par les photographes professionnels comme amateurs qu’il inaugure la mode des listes d’attentes encore en vigueur de nos jours pour les nouveaux modèles numériques.
Nikon n’oublie pas pour autant la photographie sous-marine et lance en 1992 le Nikonos RS, premier reflex étanche autofocus accompagné du zoom Nikkor 20-35 mm dont la plage focale est idéale en sous-marine.
Reflex Nikon F5 – collection Nikon Passion
L’argentique finit en force
La gamme Nikon Pro voit l’arrivée du Nikon F5 en 1996. Avant-dernier Nikon F Pro argentique avant le Nikon F6 (toujours au catalogue), le F5 propose des performances exceptionnelles pour l’époque :
- viseur interchangeable
- mesure de lumière matricielle couleur
- obturateur 1/8000 ème de sec.
- mode rafale 8 images/sec. (un film 36 poses dure 4,5 secondes !)
- mesure TTL au flash
Le Nikon F5 a introduit bon nombre de modules équipant encore aujourd’hui les reflex numériques Nikon, comme la mesure de lumière matricielle RVB. Il a servi de base à Kodak pour sa gamme numériques Kodak DCS et de modèle pour le plus compact et abordable Nikon F100.
Nikon ne produit plus de boîtiers argentiques amateurs désormais, seul le Nikon F6 reste au catalogue depuis l’arrêt du Nikon FM10 fabriqué sous licence par Cosina.
Le virage numérique et les Nikon D
Après quelques modèles précurseurs lancés au début des années 90 et résultats de l’assemblage de boîtiers Nikon et d’électroniques Kodak, les Nikon E2 et E2s intègrent en 1996 des composants Fuji.
Le virage numérique est réellement pris en 1999 avec la sortie du Nikon D1, premier boîtier professionnel numérique entièrement conçu par Nikon. Le Nikon D1 est loin d’être ridicule malgré un capteur de 2,7 Mp puis 5,3 Mp avec une sensibilité de 1600 ISO, une vitesse d’obturation de 1/16000 ème de sec. et une mesure matricielle couleur issue du Nikon F5.
Nikon D1X – Photo et collection (C) Michel Claude – Nikon Passion
La liste des reflex numériques Nikon ne va faire que s’allonger et la gamme se compléter avec les différents segments que l’on connaît aujourd’hui :
- reflex numériques grand public
- reflex numériques amateurs
- reflex numériques experts
- reflex numériques pros
Cette gamme reflex est complétée d’une gamme de compacts Nikon Coolpix fortement concurrencée par les smarphones désormais. La gamme Nikon One regroupe des modèles hybrides : compacts à objectifs interchangeables et monture Nikon CX comme le Nikon 1 J5.
En 2016 Nikon a lancé une gamme de caméras d’action, KeyMission, afin de proposer une expérience utilisateur complète en photographie comme en vidéo.
Les scanners Nikon
Nikon a lancé une gamme de scanners films et diapositives, les Nikon Coolscan, dès 1988.
Les modèles les plus performants, Coolscan LS-4000 ED et Coolscan LS-5000 ED, pouvaient recevoir un chargeur de diapositives ou un dérouleur de film en bande pour accélérer la numérisation de lots importants de diapositives et de films argentiques.
Scanner Nikon Coolscan IV ED – collection Nikon Passion
Le Coolscan 9000 ED offrait lui la possibilité de traiter les films Kodachrome au moyen d’un logiciel dédié afin de supprimer, dès la numérisation, les poussières et rayures.
Le logiciel Nikon Scan pilotant ces scanners n’est plus supporté depuis 2007, cet arrêt a signé le retrait du marché des scanners par Nikon, la série Nikon Scantouch (scanners à plat) n’ayant pas connu le succès escompté face à une concurrence importante des fabricants de périphériques pour ordinateurs.
Nikon Sport Optics
Nikon propose de longue date une gamme complète de jumelles, de longues vues, de télémètres laser, de lunettes de tir et de microscopes de terrain dédiées aux activités Sports et Nature. Regroupés au sein de la gamme Sport Optics, ces équipements reprennent les caractéristiques propres à la marque en matière de conception optique.
La gamme Nikon Sport Optics – Photo (C) Nikon Corp.
Nikon a 100 ans : Nikon et les sciences
Si Nikon a 100 ans et est connue du grand public pour ses appareils photo, la marque est aussi présente depuis sa naissance dans plusieurs domaines industriels et scientifiques.
Une partie de la gamme d’instruments scientifiques Nikon – Photos (C) Nikon Corp.
Nikon a développé un savoir-faire reconnu en matière d’instruments optiques. La marque propose une gamme complète de microscopes, de systèmes de capture pour l’espace ainsi que des systèmes d’imagerie médicale. N’oublions pas non plus les éléments équipant les télescopes, le domaine de l’ophtalmologie et les verres de lunettes.
En février 2015, Nikon a fait l’acquisition de la société britannique Optos pour développer sa présence dans le domaine de l’optique médicale.
Nikon a 100 ans : systèmes robotisés MRMC
La gamme de systèmes robotisés Nikon suite au rachat de MRMC – Photos (C) MRMC
En septembre 2016, Nikon a racheté la société MRMC designs qui produit des systèmes robotisés pour permettre la capture automatisée de photos et de vidéos à distance.
Ces solutions sont utilisées par l’industrie cinématographique et les sociétés de diffusion TV et cinéma comme par le monde de la photo. Lors du Salon de la Photo 2016 à Paris, le stand Nikon était filmé et photographié par les bras robotisés Nikon MRMC.
Nikon a 100 ans, la vidéo anniversaire
Pour célébrer cet anniversaire, Nikon vous propose de retrouver les temps forts qui ont ponctué l’histoire de la marque. mais vous allez voir aussi que si la photo tient une place prépondérante chez les jaunes, il y a d’autres activités moins connues du grand public qui participent au succès de la marque.
Nikon a 100 ans, la vidéo et les différentes activités de la société
100 ans de Nikon et vous …
Si vous fréquentez Nikon Passion c’est probablement que vous avez un attachement particulier à cette marque, au matériel photo qu’elle propose, à votre boîtier. Si Nikon a 100 ans, votre histoire avec la marque dure depuis combien de temps ?
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J’ai commence la photo avec un Zenit puis Practika, pour me diriger finalement vers Nikon avec le FM puis le F3 depuis je suis fidele à Nikon, je dispose d’une belle collection d’objo AIS toujours opérationnel, Pour les appareils dit hybrides je dirai que c’est un retour aux source c’est autrement dit des appareils à visee telemetrique sur le fond rien de nouveau sous le soleil
Ce n’est pas du tout une visée télémétrique.
Le matériel Nikon était hors de prix à ses débuts pour la bourse d’un jeune voyageur. Aussi j’ai commencé la photo avec une boite photo accompagnée d’un flash à bulbes. Les images étaient de format carré. Puis avec des appareils prêtés, j’ai réalisé mes premiers films au format 35mm. de manière étrange, à cette époque on jonglait facilement des diapos à la couleur ou noir et blanc. Mon premier 24X36 fut le Praktica super TL à monture vissante. Puis optant pour un Rollei, un montagnard indélicat me le fit tomber à terre ; alors je choisissais une marque fiable, Nikon, entrant dans le cercle des aventuriers par le boitier le plus accessible, le EM à moins de mille francs de l’époque. Ce boitier entièrement automatique et encollé à la résine, sans vis, avait ses limites. Alors peu à peu je modifiais mon équipement en passant par le fabuleux FA, à cellule multi-zone. Le premier ordinateur de mesure de la lumière intégré était né. Il fallait travailler sur diapos pour les publications. Mais la passion m’avait plongé dans le noir et rouge du laboratoire de développement, auquel j’initiais la jeunesse. Je me souviens que c’est un cuisinier qui m’a lancé dans la chimie du développement. Quand je revois les diapos de l’époque, je trouve qu’elles ont un éclat impressionnant de couleurs et de lumières. Mais la précision de l’image a gagné avec le numérique auquel on ne croyait pas beaucoup au début. la première image numérique publiée, je l’ai vue dans le journal l’équipe. On voyait de manière étrange les énormes pixels. Cela nous faisait rire. On disait, il faut au moins une image de 5 mégas pour avoir la qualité de l’argentique. De nos jours, avec 45 mégas, on a des images inégalées et de qualité jamais atteinte dans le grand public. Pour le traitement de l’image numérique c’était la jungle. Pas de mode d’emploi comme lors du traitement chimique des images négatives en labo. Mais c’est l’intuition qui gagne et fait choisir le logiciel que l’on sent le mieux. J’ai choisi DXO pour sa logique globale de correction des distorsions, et le cadeau a été dernièrement le rappel du traitement par les « U points » de Nikon. Bref, depuis le clic clac des débuts, il y a eu une sacrée évolution. Ce qui me fait rire dernièrement, ce sont les jeunes ou moins jeunes qui râlent contre le poids de leur matériel et veulent dans la poche un appareil de qualité réflex. L’optique reste pourtant indispensable pour avoir de belles images. Qu’ils étudient l’Histoire de la photo et les prises de vue avec le Daguerréotype plaque entière !
En ayant étudié cette période de l’Histoire de la photo, et le brevet de M.Daguerre, je regrette que personne n’ait accepté de publier une recherche que j’ai faite, sur le déroulé de l’année 1839, celle qui a vu la publication du secret de la prise de vue et le départ sur les chemins du Monde de colporteurs qui ont pris les premières images avec le Daguerréotype. Cette recherche est disponible sous forme de deux classeurs, à numériser !!!
Très émouvant ! Je suis toujours possesseur d’un boitier Nikon, mais mon premier, en 1972 achat fut un Nikon ‘F’ « Photomic » avec le 35 de 2, le 200 de 4 et le Micro-Nikkor de 3.5 que j’ai toujours !
Je suis cependant nostalgique de la qualité et de la solidité de ces anciens boîtiers dont je ne sais plus quel photographe de Life couvrant la guerre du Vietnam disait qu’on aurait pu planter des clous avec !
…j’ai découvert la photo avec un Eljy-Lumière…vous dire ! J’avais 10 ans, (aujourd’hui 80 )! C’est avec un Minolta que j’ai gagné un concourt Kodak, et mais c’est avec un Nikon F 801 (et objectifs ad’hoc) que j’ai
obtenu ma carte de presse ! Entre les deux que de prises, magiques ou d’enfer, néophyte que je suis toujours ! Une découverte majeure : Il en est de la photo comme de la vie, c’est la voie royale de la découverte tant qu’on espère en des lendemains encore plus lumineux ! Ma meilleur image : celle à venir.
En 1970 mon matériel Canon était volé dans ma voiture en stationnement,sur le point de partir en vacances en Corse j’ai fait l’achat en urgence d’un Nikkormat depuis je n’ai pratiquement plus quitté la marque sauf l’achat d’un bridge Lumix afin de m’initier à la pratique du numérique.Nikon est en effet une marque fabuleuse qui a cntribué à devenir le mordu de la photographie que je suis encore aujourd’hui à 88 ans!
Rentré en apprentissage photo à 17 ans en 1965, Studio Lorelle , assistant de Marcel Amson durant
3 ans, les Nikon F étaient les seuls appareils pro et pour mes 20 ans , j’ai acheté un F , prisme en toit avec un 50 m/m. J’avais déjà un Roleï F2,8 avec lequel je bossais, Dans toute ma carrière de photographe j’ai travaillé avec tous les types de matos de la Sinar 20×25 – Fuji 6×17 et 24×36 – 40 ans de métiers dans diverses branches dont l’industriel , la pub et le mariage pour arrondir les fins de mois et l’achat des Nikons et optiques. Je suis resté fidèle à cette marque, et n’ai pas eu l’envie de changer . Pendant un temps j’ai collectionné les Nikons télémétriques (S – SP- S3 et objectifs) que j’ai revendus .
J’ai eu le F puis F3 – 801 -801s -F90X – F6 et passage au numérique en 2005 – D200 – D7000 – D 7200
Le format DX me convient car à la retraite c’est de la photo plaisir.
Les optiques – du 21 UD f3,5 au 200 f4 un Sigma 300f4 pour l’argentique – En numérique du 16 x85 au 200x 500 (un régal)
Maintenant j’ai 70 ans et j’ai toujours cette passion de l’image –
Merci à Nikon qui a répondu présent tout au long de ma carrière.
Ce que j’aurais aimé c’est que Nikon sorte un SP (télémétrique) numérique plutôt que le DF qui est mal positionné et bien trop cher .
Bonjour
Je suis un passionné de Nikon depuis toujours. Commencé avec un Rolleiflex à 16 ans. Je suis vite passé au Nikon avec une gamme très complète d’objectifs Nikkor.
Lorsque les premiers numériques sont apparut j’ai eu le 90 puis le 7000, et en 2012 la dernière merveille de la gamme le D 800. Malheureusement, je n’ai jamais été satisfait de la visée réflex, (à détection de phase TTL) le point n’était jamais là ou je le faisais. Pour palier ce défaut, je me servais souvent de l’écran de contrôle pour faire le point et là c’était parfait : (AF par détection de contraste)
. J’ai envoyé divers courriers au SAV Nikon mais ils ne supportent pas de reconnaître le moindre défaut. J’ai tenté le réglage fin de l’AF, avec une échelle de réglage pour la cuvette et une pour le back focus comme indiqué sur le tutorial, pour parvenir a un semblant de piqué, mais au final pas satisfaisant.
Après de nombreux tests de mise au point, je constate l’impossibilité d’avoir un point parfait en visée réflex (j’ai mis malheureusement beaucoup de temps car je ne pouvais pas croire qu’un appareil Nikon à ce prix, pouvait présenter un défaut et j’ai continué de m’acharner sur les réglages fins de l’AF ). Je me suis résolu enfin à aller à la boutique du service après vente où on m’a indiqué un défaut de fabrication et un cout de maintenance de plus de 350 € car j’avais dépassé de quelques semaine ma garantie.
Aujourd’hui, après une enquête tardive je l’avoue, je m’aperçois que de nombreux utilisateurs de D800 dans le monde ont le même problème, ce qui m’encourage à relayer ce problème. Aujourd’hui, déçu par le D 800, je ne suis pas passé au D 810 j’hésite du coté du Sony Alpha 7 RII, mais je n’aime pas son ergonomie. Ce qui pourrait me décider en faveur du Nikon, c’est une version D 820 Mirrorless avec vidéo 4 K tout en conservant l’ergonomie du D 810, quand la firme Nikon aura de nouveau la capacité à me faire rêver.
Bonjour
Comment je suis devenu Nikonniste
Gamin, je fais des photos avec les appareils à soufflet des tantes
1er appareil perso, un Brownie flash Kodak.
1er reflex un Zeiss, qui finalement ne me plait pas et que je revend au bout de 6 mois.
A l’époque:
Canon réputation amateur
Leitz, trop cher et de plus télémétrique, je veux un réflex
reste en « pro » Minolta ( david Hamilton) et Nikon ( Blow Up)
Je penche pour Minolta mais après renseignements mesure de lumière 1/3 ciel 2/3 terre, cela me semble bien en horizontal, mais en vertical ?
Mesure Nikon pondérée centrale : ce sera un Nikkormat mon choix, à quoi ça tient.
C’est tout de suite « l’entente cordiale », facile d’utilisation, boutons bien placés, solidité….
Après F2 (je l’ai toujours et il marche toujours), FM…et F5 pour finir, un tank mais le meilleur argentique que j’ai connu.
Puis les numériques du D1, mauvaises couleurs mais des photos mémorables, en particulier de tonneaux en autocross, D2 bonnes couleurs mais ISO poussifs pour le sport en salle, D3 beaucoup mieux et D4, « nearly perfect » , sans oublier le « petit » D800 pour le paysage, mais qui peut tout faire.
Avec cela , au fil du temps beaucoup d’objectifs Nikkor et du beau et bon.
Choix du coeur le 200F2, ou sinon le 400F2.8, et choix de raison le 70/200 même si c’est un 1ere série, il reste performant
En 1969, j’achète un Nikon F de base sans prisme à cellule, car ce dernier avait pour moi 2 inconvénients la luminosité et le couplage avec l’objectif (aller retour de la bague de diaphragme) j’ai préféré une lunasix pour la mesure de la lumière. Comme optiques un 2.5 105mm et un 2.0 35mm. Mon boitier F est allé deux fois en révision, mais rien de grave.
Ensuite je me laisse séduire par un Leica M4, j’apprécie la visée télémétrique et le silence de ce boitier il est équipé d’un 2.0 35mm et 2.0 90mm. Une fiabilité exemplaire, mais ensuite je connais de gros déboires avec le M 240, décidément chez Leitz on est mécanicien et opticien, mais pas électronicien.
Ayant garder le matériel Nikon je suis séduit par Le Df (fin 2013) un boitier d’un concept retro, que j’apprécie énormément seul au bout de 10000 photos le boitier montre des signes de faiblesse, le gainage se barre, l’interrupteur « on off » ne fonctionne plus, par chance il est bloqué sur ON.
J’apprécie sur le Df les performances exceptionnelles de mesure en basse lumière et la précision de son autofocus. A un moment j’ai eu envie de le remplacer par le D800, mais le viseur est peu pratique surtout avec des lunettes.
Le Df aurai à mon avis pu être le remplaçant du F ou F2, domange ce manque de finition. Conclusion si je veux un boitier robuste il reste que le D4 ou D5 beaucoup plus cher!!! J’hésite car la vidéo ne m’intéresse pas.
En ce qui concerne les objectifs Nikkor je n’ai jamais été déçu. J’en ai actuellement 8.
Happy Birthday Nikon! ce fut et cela reste ma marque favorite. mon premier Nikon fut un F2S en 1973 et il fonctionne encore chez celui a qui j’en ai fait cadeau. depuis bientôt 5 ans je suis l’heureux proprio d’un D800 et chaque fois cet appareil m’éblouit par ce qu’il fait. bien sûr il va de pair avec les beaux objectifs de la marque depuis le 14mm jusqu’au 200mm. Merci à cette marque pour les joies qu’elle m’apporte avec les photos que je prends. Je lui souhaite une très longue vie encore riche de nouveautés.
Bonjour à tous,
Un Siècle d’antériorité pour Nikon et près de 40 ans de fidélité pour cette marque qui a conservé, au bénéfice de ses utilisateurs, la bayonette « F » depuis l’origine …Après avoir débuté la photographie avec un modeste « Cosmic 35 » alias « Smena 8 » ainsi qu’un Lumière ELJY que j’ai utilisé, de manière empirique, en montage afocal sur un microscope Optico pour effectuer mes premières photomicrographies (J’avais 13/14 ans…), j’ai opté pour un matériel plus conséquent dès lors que mes revenus le permirent.
Mon premier réflex fût un Canon Fx qui m’a donné pleine satisfaction, suivirent un Ftb et Canon III qui m’étaient plus accessibles que le matériel Nikon équivalent de cet âge d’Or de l’argentique qu’étaient les années 1970.
De fait, mon premier réflex Nikon fût un FM2 avec un set de 2 objectifs Nikkor, un 105/2.5 et un 50/1.8. Suivirent, Nikon F, F2, F3 HP, F4 puis F5 et F6…que je possède toujours et qui sont dans un état parfait de fonctionnement malgré leurs pérégrinations en Afrique, Océan Indien, USA et Extrême Orient ! Le virage numérique a été également correctement négocié même si je n’ai pas d’éléments objectifs de comparaison avec les autres fabricants. (J’ai possédé un D100, D2H, D300 et D5200 et j’utilise actuellement un D3x)
Pourquoi Nikon ? Toujours la même bayonette depuis le Nikon « F » qui permet de monter sur les boitiers numériques des anciennes gammes objectifs tel les AI-s…L’excellence de certains objectifs et Zooms (Micro-Nikkor et Af-s)
Mes préférences :
En argentique : le F3HP, le F4s et le F6 (Je possède également un Nikon SP que je n’ose pas utiliser)
En numérique : le D100, le D300 et le D3x…Mais un peu trop lourd dorénavant
Les objectifs : La gamme micro-Nikkor (55/2.8, 60 et l’AF-S 105/2.8 VR), le 105/2.5 en monture AI-S et les Zooms AF-s tels les 18-35/3.5, 28-70 et le 70-200…Ainsi qu’une perle, le fisheye Nikkor 16/2.8 en monture AI-S qui me permet de le monter sur mon D3x….
Conclusion :
Je ne parle que du matériel que je possède ou que j’ai possédé…et qui m’ont apporté que des satisfactions !!!
Bonne lecture et bonnes photos à tous avec ou sans matériel Nikon !
Alain
Moi je fête mes 40 ans de Nikon… En 1977 j’achète mon 1er reflex Nikon et aujourd’hui je suis toujours fidèle à Nikon. Jumelle, scan dia, objectifs, boitiers…Je suis une inconditionnelle de Nikon. Mes boîtiers en ont vu de dure au tour de la planète et jamais ils ne m’ont lâchés.
Dans la famille, Nikon F2, Nikon D70, Nikon D80, Nikon D90 et Nikon D5500 cela résume un attachement à une marque! Une seule déception le D80.
Bonjour, En matière de reflex, j’ai toujours utilisé des appareils Nikon, de l’argentique au numérique. En parallèle, j’ai aussi acquis des bridges Sony et Panasonic (plus compacts pour les vacances). Actuellement, je shoote avec un D750 mais je voudrais aussi trouver un bon hybride et c’est regrettable que Nikon délaisse ce domaine, voulant sans doute protéger le reste de sa gamme. Je ne suis pas certain que ce calcul soit le bon car je constate autour de moi, que pas mal de photographes amateurs (voire professionnels) délaissent leur reflex lourd et encombrant pour des hybrides de qualité Sony, Fuji, Olympus, etc… Dommage.
C’est une fabuleuse histoire, mais ces derniers temps le management n’a accumulé que des erreurs invraisemblable. Finalement je me pose sérieusement la question combien temps cette entrepris va encore pouvoir résister?? Pour moi la fin s’approche malheureusement à grands pas! L’abandon de la série DL est un fort mauvais présage. Ils sont entrain de se faire dépasser par tous les concurrents et vont être cette année encore dernier de la liste en importance!
Bonjour, J’ai commencé la photo dans les années 68 avec un rolleiflex mais très rapidement je me suis équipé en matériel Nikon, j’ai eu jusqu’à 5boitiers Nikon (argentique puis numérique. A l’exception d’une infidélité très relative avec un Fuji S3 Pro puis S5 Pro aux capteurs très attachant mais dont les photos ne pouvaient être mixées chronologiquement avec celles issues du boitier Nikon (D200)de mon épouse, je suis revenu vers nikon avec le D300s (très beau boitier) puis D3 puis D610et enfin D750 avec un D7000 pour mon épouse et un D5300 de secours pour assurer en toutes circonstances mes reportages de mariage en particulier. Je suis un inconditionnel NIkon en particulier pour sa résistance au choc, à l’humidité bref aux conditions parfois très difficiles des reportages.
J’ai revendu mon D750 car le plein format est plus lourd que l’APS-C, aussi je vais me rééquiper avec un D7200+16-80 pour ma photo de loisir ayant clos mon activité professionnelle.
Bien que Nikon soit souvent cher je reste à jamais fidèle à cette marque exceptionnelle.
JL Héricher Numargphoto
Bonjour à tous,
Je possède un D750 et un D7100, j’ai aussi possédé au début un D40x,
et bien avant, un Pentax K1000 argentique.
Personnellement, je crois que c’est une question surtout d’ergonomie et de ressenti personnel que l’on choisi une marque à une autre, avec celui-ci, les boutons tombent mieux sous ses doigts..
BMW, Mercedes, Audi à prix quasi égal, qualité égale mais on ressent plus de chose dans l’un ou l’autre modèle.
BREITLING – ROLEX – TAGHeuer vous donnent toutes les trois certainement une heure très précise, mais laquelle on préfère !?! Le tout est une affaire de goût !
Bonjour à tous j’ai voulu passé au reflex n’étant pas encore èquipè j’ai dù choisir entre Canon et Nikon , après avoir eu les 2 boîtiers en main Nikon m’a paru tout de suite plus facile à utiliser.
J’ai commencé par le D7000 qui m’a donné entière satisfaction puis quelques temps après est sorti le D600 difficile de résister à l’appel du plein format
J’ai donc acheté le D600 décembre 2012
plus rien avoir avec le D7000 qui était déjà très bon .
au fil du temps je me suis équipé de nouvelles optiques qui font la réputation de Nikon .
Avec du recul le défaut principal de Nikon c’est une sacré tendance à surexposé les clichés choses qu’on voit beaucoup moins chez Canon en revanche le piqué n’est pas comparable et les boîtiers sont beaucoup plus performant en termes de rapidité de mise au point.
Ce que je ressents et qui semble hélas se confirmer c’est que Nikon delaisse le
Domaine photo ce qui est très dommage et du coup laisse libre champs à Canon
En espérant retrouver des nouveautés chez Nikon
Bonnes photos à tous les photographes Canon ou Nikon
Bonjour,
J’ai commencé par un Edixa mat Reflex D, premier reflex -allemand- à disposer du retour automatique du miroir. Ensuite hésitation entre le Canon F1 et le Nikon F. Choix du F1 car on pouvait trouver une bague adaptatrice pas chère pour récupérezr mes objectifs 42 mm à vis. Puis Canon T90 et un parc de belles optiques dont le TS 35 mm à décentrement et bascule…
En 1995, trahison de Canon avec le changement de baïonnette et l’abandon de ceux qui disposaient d’un gros parc optique.
Passage chez Nikon avec le D90. Vente de tout le matériel Canon et rachat de beaux objectifs pour beaucoup de satisfactions pendant des années : bien mesure de la lumière, meilleure gestion du flash, etc.
Découverte du numérique de qualité avec le Coolpix en 2002/03.
Enfin, en 2004, passage au D70 d’abord en double système (doublement des clichés importants avec le D90) puis seul (deux boîtiers en permanence c’est lourd !).
Ensuite D200, D300 et enfin D3S depuis quelques années avec le bonheur absolu de passer du DX au FX (ce sera impossible àconnaître de nouveau sauf à passer en grand format)
En tant qu’auteur des « Guides de la diapositive et du diaporama » je ne faisais que de la diapo.. Avec le D3S et un projecteur Leitz j’ai retrouvé le plaisir des images projetés sur 3 m de base.
Dernier achat : l’extraordinaire 1,4/105 mm.
Je raconte tout ceci sur http://www.jeanlucmichel.com si ça vous intéresse.
Merci.
Mon premier Nikon fut le FM, puis le FE, FE2, F90, F801, F100, D300 et aujourd’hui D700 et D800E. Sans vouloir être prétentieux à cette époque j’ai fait vendre pas mal de Nikon. C’était le bon temps. Aujourd’hui ça a bien changé. Mauvais choix technique (AF) matériels mal aboutis, gros Pb de fiabilité, Plus d’innovations, Liste des accessoires incomplète surtout en macro, plus de bague allonge, SAV complétement à la dérive. Bref Nikon n’est plus que l’ombre de lui même. Comment s’étonné que la part de marché de Nikon soir descendue si bas par rapport à son concurrent Canon, surtout chez les pros qui est quand même la vitrine. Souhaitons que Nikon avec le centenaire nous étonne encore. Mais je n’y crois pas trop.
Je pense qu’il vous faut revoir quelques (bons) chiffres actualisés avant d’avancer certains arguments 🙂
Je ne demande qu’a les connaitre. Mais quand je lis certaines revues photographiques le nombre de photographes équipés Nikon est marginale.
Ceci dit j’ai actuellement un D700 et D800E. Vu tous les Pb que j’ai eu avec ce dernier plus, sont AF aléatoire, son bruit de déclenchement, sa qualité d’image en jpeg, sa (BDB), son viseur avec son dégagement oculaire en retrait, ce dont Nikon nous avait pas habitué, enfin tous ces points que Canon a résolu, font que je n’ai plus trop de plaisir avec mon D800E.
Coincé avec Nikon (beaucoup d’objectifs) j’attend donc son remplacement avec impatience. J’ai envisagé un moment le D500, mais là aussi des lacunes importantes (viseur et son D.O. trop faible, bruit au déclenchement) m’ont fait reculé.
Je suis peut être devenu difficile mais vu le prix du matériel actuel on est en droit d’attendre le sans faute. Je ne dis pas tout ça de gaité de cœur, mais je le répète Nikon n’est plus ce qu’il était, ce n’est plus la référence que c’était.
Bonjour à tous, c’est en 1977 pour mes 18 ans que j’ai pu m’offrir un Nikkormat après avoir utilisé les années précédentes de vieux Zenit E et EM.
Plus tard j’ai eu la chance d’en posséder un certain nombre, du basique et excellent Nikon EM au fabuleux F3, en passant par le regretté FM, mon préféré à l’époque.
Mon dernier argentique fut le F801S. Si je suis resté longtemps réfractaire à la photographie numérique, il est vrai que les premiers appareils étaient décevants, j’ai fini par franchir le pas avec un D80, influencé par les tests de magazines confirmés.
Ce furent ensuite le D90, et plus récemment les D5500 er D7200. (Le format APSC est un choix autant philosophique que pratique, son ratio de 1.5 m’avantage en macro et en nature).
Je suis Jean-Christophe depuis novembre 2009 et je ne l’ai jamais regretté. Nikon, une marque coup de coeur pour laquelle l’affect a une part très importante, au delà des qualités de la marque jaune.
Bonjour,
j’ai également commencé avec un Nikkormat FTN à la fin des années 70 😉
Ensuite en 81 un Nikon FM, boîtier très solide que j’ai toujours et qui fonctionne encore sans problème. Au début des années 90 un grand bonheur avec le F801S, superbe boîtier que j’ai changé (hélas) pour un F100 en 2000 et qui est tombé en panne électrique après 8 ans de bons et loyaux services. Passage au numérique d’abord avec un D700, excellent boîtier, complété par D7100 pour l’animalier. Il y a 2 ans j’ai remplacé le D700 par un D810 dont je suis très content, puis il y a 6 mois le D7100 pra un D500 dont je suis très très content !!!
Toujours fidèle à Nikon depuis 40 ans, et j’espère que la célébration des 100 ans sera accompagnée de nouveautés dignes de la marque et ce malgré les rumeurs inquiétantes sur l’avenir de celle-ci.
Alain
Bonjour bien quekiper an materiel canon japresie vaus comenter que jadore votre aproche pedagogique de la photo jais pout tous vous dire tout un equipement argentique que je pratique toujour an nikon le bon vieux nikon f5 et le f501 jais comencer a vec un astamatique et pui jai u un topcon et puis un njkon fg fa fe2 plus toute une panoplie dobjetife comme le legender 85m1.4 nicor le 180mm2.8 ed nikor et le 55micro nikor macro le 400mm 5.6 nikor ed if le 50.1.8mm nikor ais mai jai du men separe a regre mai je sui toujour an posesion du nokon f5 voila pour mon istoir oui jai du respais pour les nikoniste bien que je choute an canon bonne journée a vous jaime beaucoup vaux video et vaux comenter braveau a vous
Bonjour. Nikon fabriquait également des objectifs pour chambre de grand format. CM.