Dans la première partie de ce dossier, nous avons vu comment choisir un téléobjectif, zoom ou focale fixe. Dans cette seconde partie vous allez découvrir comment utiliser un téléobjectif en photographie de paysage, un domaine dans lequel les longues focales ont de l’intérêt au-delà des apparences.
Cet article est écrit par Philippe Ricordel. Philippe parcourt la planète depuis presque 20 ans pour témoigner de l’évolution des écosystèmes, des relations humains / animaux dans différents lieux. Auteur d’ouvrages techniques chez Eyrolles, sa formation d’ingénieur l’aide à appréhender les aspects techniques de la photographie moderne.
Pourquoi utiliser un téléobjectif en photographie de paysage
La question est fréquente et légitime. Pourquoi les photographies de paysage devraient-elles obligatoirement être faites avec des objectifs grands angles ? Aucune règle ne le dicte hormis celle que vous voudrez bien vous imposer. La photographie est une expression artistique qui dépend de vous et de vous seul.
Vous avez souvent le réflexe d’utiliser un 24 mm ou un 35 mm pour immortaliser un paysage avec la volonté de tout englober et ainsi restituer la grandeur qui s’offre à vous. Mais peut-être n’est-ce que le rendu du grand angle et encore plus de l’ultra grand angle qui vous séduit.
Laisser l’image d’une montagne lointaine s’imposer dans le cadre traduit le sentiment de domination qu’elle exerce dans le paysage. L’impact peut être plus fort qu’avec une photo prise au grand angle de cette même montagne, ce qui souligne la distance qui la sépare du photographe.
Je vous propose de changer vos habitudes et d’oser le téléobjectif. Il est plus encombrant, plus lourd, et sa mise en œuvre a priori plus longue. Les réglages et les ajustements prendront plus de temps mais le jeu en vaut la chandelle. La photographie de paysage au téléobjectif va renouveler votre regard sur le paysage qui vous entoure.
Photo (C) Philippe Ricordel – 170 mm – f/7.1 – 1/1600 sec. – ISO 400
La vision « téléobjectif »
Avec un téléobjectif, il va vous falloir capter une parcelle de la scène au lieu d’essayer de la faire entrer en un seul bloc dans votre image. Isoler une parcelle ne signifie pas pour autant perdre l’esprit de l’environnement, c’est peut-être ce qu’il y aura de plus difficile à faire de prime abord.
Essayez la prochaine fois que vous aurez un téléobjectif entre les mains : tournez-vous vers le paysage, regardez dans le viseur pendant un moment, trouvez des détails, combinez des objets complémentaires, recadrez votre image avant même de déclencher, puis déclenchez et regardez le résultat.
Vous allez constater que vous pouvez utiliser un téléobjectif en photographie de paysage. Néanmoins son utilisation va vous imposer quelques contraintes techniques.
Les contraintes
Tout d’abord vous aurez peut-être à utiliser un trépied pour vous assurer de ne pas avoir de flou de bougé car plus la focale est longue, plus le risque est grand. C’est à réfléchir avant de faire vos photos.
Votre point de vue va être modifié avec une longue focale par rapport à celui que vous avez avec une courte focale. L’ajout d’un sujet en premier plan devient plus compliqué car le rapport de taille entre celui-ci et le fond peut s’avérer difficile à gérer si vous êtes très (trop ?) proche de votre sujet.
Si possible, commencez par un sujet global comme une montagne, au loin, un arbre sur la pente ou sur la crête d’une colline. Le risque avec la photographie de paysages au téléobjectif c’est de ne faire que des photos de détails et de trop isoler vos sujets, vous y perdrez en contexte et signification de l’image. Cela peut être volontaire et relever d’une démarche qui vous est propre, mais sachez-le pour l’assumer.
Sachez aussi qu’il y a longues focales et longues focales : réaliser des photos de paysages au 100 mm ne sera pas la même chose qu’au 300 mm. Les sujets ne seront pas forcément les mêmes et vous ne pourrez pas les traiter de la même manière.
En résumé, n’oubliez pas le contexte dans lequel vous désirez réaliser votre image.
Photo (C) JC Dichant – 500 mm – f/5.6 – 1/640 sec. – ISO 100
Téléobjectif pro ou amateur, lequel choisir ?
La croyance générale veut que les optiques dites professionnelles soient de meilleures factures que celles dites amateur. Cela s’avère souvent vrai, mais pas forcément du point de vue purement optique.
Le Nikon AF-S NIKKOR 70-200 mm f/2.8 par exemple est-il meilleur, optiquement parlant, que le Nikon AF-S NIKKOR 70-200 mm f/4 ? Pour avoir testé les deux, je dirais que c’est à la marge, la différence est ailleurs.
Le f/2.8 est plus lourd, plus encombrant, il apparaît plus costaud également et il est vraisemblable qu’il sera mieux à même de résister à des conditions de prises de vue plus « rugueuses », sinon du point de vue optique le f/4 est également très bon.
Le raisonnement ci-dessus vaut pour d’autres optiques, j’ai ici pris l’exemple de deux optiques de la marque Nikon, j’aurais pu comparer la même gamme chez Sigma ou Tamron par exemple. Le 70-200 mm f/4 n’existe pas chez Sigma, mais la question souvent posée est : vaut-il mieux prendre le Sigma f/2.8 ou le Nikon f/4 ? Il n’y a pas de réponse absolue à cette question : qu’est-ce qui a de l’importance pour vous ? Le poids ? L’encombrement ? L’ouverture ? La qualité absolue ?
Téléobjectif ou recadrage DX ?
C’est une question qui revient souvent, et pas seulement dans le cadre de la photographie de paysage au téléobjectif. Pour rester dans le cadre de cet article, je dirais que le recadrage DX n’a pas d’influence intrinsèque sur la qualité de votre image : vous enregistrez juste une portion de celle-ci sur votre carte mémoire c’est tout.
Ce faisant vous réduisez la taille en pixels de votre image et donc vous limitez la taille maximale du tirage papier que vous pourriez faire. Si votre image est pensée pour une diffusion sur le web, ou pour des tirages modestes en taille, il n’y a aucun inconvénient à utiliser le mode DX pour obtenir un grandissement apparent de 1,5 fois.
Par contre si vous destinez vos prises de vue à la réalisation de grands tirages et d’expositions, alors le mode DX pourra vous limiter dans vos possibilités. Ceci est à relativiser, car en mode DX un boitier comme le Nikon D850 fournit une image de plus de 19 Mp, un Nikon D750 fournit quant à lui un fichier image d’environ 10 Mp, et l’on sait faire de grand tirages qualitatifs avec ce nombre de pixels sans aucun souci.
Téléobjectif et compression des plans
Utiliser un téléobjectif en photographie de paysage vous permet d’agrandir des sujets éloignés pour qu’ils paraissent plus proches et que vous puissiez comprimer l’image, au sens de la « compression des plans » que permet un téléobjectif.
Pour comprendre ce qu’est la « compression des plans », pensez à des collines ondulées, distantes de plusieurs kilomètres, qui semblent se superposer les unes aux autres. Ou à un arbre isolé sur une pente, ou encore un détail de couleur, de forme à mettre en exergue du fait de l’utilisation d’une longue focale.
Pensez également aux silhouettes, ce qui impose de déclencher face au soleil ou bien sur un ciel dégagé (ou non). Il existe plein d’opportunités photographiques à saisir avec un téléobjectif.
Vous pouvez également jouer avec la perspective (encore une histoire de compression des plans) sur des éléments répétitifs comme des arbres alignés. Utilisez les détails en les isolant, grâce à une grande ouverture.
Les motifs et abstractions peuvent aussi être mis en valeur dans une photo de paysage, notamment urbain. N’hésitez pas à copier Ansel Adams si vous travaillez en noir et blanc, vous pourrez alors vous concentrer sur les zones où l’ombre et la lumière se rencontrent.
Photo (C) Philippe Ricordel – 400 mm – f/8 – 1/500 sec. – ISO 400
Quelles focales utiliser pour photographier des paysages au téléobjectif
Nous avons vu dans la première partie de cet article que le concept de téléobjectif commençait vers 85 mm. Pour le paysage c’est une valeur basse, considérant que la plupart des sujets dans un paysage se trouvent à une certaine distance. A mon sens il est préférable d’envisager une focale d’au moins 150 mm en équivalent plein format. C’est avec une telle focale que les effets de grossissement et de compression commenceront à s’établir et deviendront perceptibles dans votre composition.
De nombreux téléobjectifs zoom commencent à 70 ou 100 mm et vont jusqu’à 200 ou 400 mm, quand d’autres atteignent 500 mm ou plus. Je laisse volontairement de côté ici les super téléobjectifs, leur poids, leur prix et encombrement font qu’ils ne sont pas à la portée du photographe amateur, et je suppose que si vous en possédez déjà un, vous en avez la maîtrise et je n’ai rien à vous apprendre.
Il existe de nombreux objectifs dans la plage focale 100-400 mm, ceux des constructeurs (Nikon, Sony, Fujifilm, Canon, …) comme ceux des opticiens indépendants (Tamron, Tokina, Sigma, etc ..).
Chez Nikon, et pour un prix somme toute raisonnable vous avez les :
- Nikon AF-S NIKKOR 200-500 mm f/5.6,
- Nikon AF-S NIKKOR 70-300 mm f/5.6 et ses déclinaisons DX et AF-P,
- Nikon AF-S NIKKOR 80-400 mm f/4-5.6.
Les autres marques offrent des objectifs similaires en termes de longueur de focales. Ne négligez pas les zooms 70-200 mm f/2.8 ou f/4 des marques et opticiens indépendants. Ce sont de très bons téléobjectifs pour commencer, ils sont polyvalents et fort utiles dans d’autres domaines comme la photographie de sport.
Pour les appareils photo au format APS-C, vous pouvez utiliser les mêmes optiques avec un effet renforcé par rapport au capteur plein format d’un coefficient 1,5 (rapport de grandissement de l’image entre plein format et APS-C). Fujifilm propose par exemple pour ses appareils APS-C à monture X un objectif Fujinon 100-400 mm f/4,5-5,6 qui cadre comme un 150-600 mm en 24 x 36. En micro 4/3 une optique de 150-400 mm f/4,5 avec un convertisseur x 1.25 intégré correspond à une focale maximale équivalente de 1000 mm en 24×36.
Ceci nous amène à parler des téléconvertisseurs.
Photo (C) Philippe Ricordel – 155 mm – f/5 – 1/6400 sec. – 400 ISO
Téléobjectifs et convertisseurs de focale
Qualité d’image
Les convertisseurs de focale constituent un moyen peu onéreux d’élargir les possibilités en termes de focales sans vous imposer l’achat d’un nouveau téléobjectif. Quelques précautions s’imposent toutefois.
Un convertisseur de focale est un élément optique rapporté entre l’objectif et le boitier, et aussi bon soit-il, il engendre dans l’absolu une perte en termes de contraste et de piqué.
Si l’objectif est lui-même de bonne qualité, de même que le téléconvertisseur, cela ne sera pas ou peu perceptible sur une photo publiée sur le web ou imprimée en petit format (pas ou faible grandissement lors du tirage papier). Si c’est votre besoin, ne vous posez pas trop de questions : la qualité sera suffisante.
Il vous faut aussi savoir raison garder : adapter un convertisseur de focale Nikon TC 2 sur un objectif comme le Nikon AF-S NIKKOR 70-300 mm f/5.6, même si c’est possible mécaniquement, vous donnera un objectif à l’ouverture résultante de f/11, donc très sombre à la visée. Il sera difficile à exploiter sur le terrain, sans compter la possible dégradation assez prononcée de la qualité de l’image. Le Nikon AF-S NIKKOR 70-300 mm f/5.6 VR est une bonne optique, mais pas non plus exceptionnelle à 300 mm.
En matière de convertisseur de focale, retenez que meilleur est l’objectif d’origine, meilleur est le résultat une fois le convertisseur installé (en savoir plus).
Téléobjectif et convertisseur de la même marque ou pas ?
Rester dans la marque, c’est l’assurance d’avoir une dispersion limitée et a priori une meilleure qualité résultante. Mais les contre-exemples existent, aussi bien dans les grandes marques que chez les fournisseurs tiers (voir les convertisseurs Kenko).
Ce qu’il faut comprendre, c’est que le téléconvertisseur ajoute de possibles imperfections entre l’optique et le capteur. Parfois les imperfections de l’optique se trouvent compensées par celles du téléconvertisseur, parfois elles s’ajoutent et cela peut se voir sur l’image. Aujourd’hui les tolérances et la qualité de fabrication font que cela reste rare.
Photo (C) JC Dichant – 200 mm – f/5.6 – 1/200 sec. – ISO 100
Convertisseurs de focales et zooms à grande plage focale : les limites
Une question revient souvent : peut-on utiliser un téléconvertisseur avec un zoom à large amplitude, comme un 24-200 mm, 18-300 mm ou même un transtandard 24-70 mm ou 24-120 mm ?
Il est mécaniquement impossible de monter des téléconvertisseurs sur ce type de zoom. Et honnêtement cela vaut mieux car les formules optiques de ces objectifs supporteraient assez mal l’ajout d’un téléconvertisseur.
Il vous faut aussi considérer l’ouverture résultante de votre ensemble optique + téléconvertisseur. L’ajout d’un TC 1.4 fait perdre un diaphragme, celui d’un TC 2, 2 diaphragmes. Autrement dit, un objectif ouvrant à f/2.8 ouvrira à f/4 avec un TC 1.4 et à f/5.6 avec un TC 2. Un TC 1.7 donnera une ouverture résultante de f/4.8.
Or, les autofocus sont généralement limités en détection dès l’ouverture f/5.6 (collimateurs centraux utilisables seulement), et inutilisables dès f/8 (parfois seul le collimateur central unique reste actif et utilisable). Cela étant pour utiliser un téléobjectif en photographie de paysage, rien ne vous empêche de réaliser votre mise au point manuellement.
Téléobjectif en photographie de paysage : trépied ou pas ?
Utiliser un téléobjectif en photographie de paysage peut vous amener à vous poser la question de l’utilisation d’un trépied. Désormais la stabilisation des optiques, parfois conjuguée à celle du capteur (comme avec les Nikon Z hybrides plein format) permet d’obtenir de très bons résultats à main levée avec des couples temps de pose/sensibilité ou temps de pose/ouvertures impensables jusqu’alors.
Considérez que le temps de pose minimum doit être d’environ 1/« focale en mm employée ». Pour 200 mm, cela vous donne un temps de pose de 1/200 sec.
Photo (C) Philippe Ricordel – 155 mm sur APS-C – f/9 – 1/1250 sec. – ISO 400
Avec les paysages, qui ne bougent pas trop bien que les conditions de lumières puissent faire grandement varier leur apparence, il peut être souhaitable d’utiliser des temps de pose plus longs et donc d’utiliser un support stable. L’utilisation d’un trépied apporte une contrainte de plus en terme de poids et encombrement, sachez-le.
D’un autre côté, l’approche paysagiste est normalement une approche plus lente, plus réfléchie, cela ne devrait donc pas être un frein majeur à la pratique de ce type de photographie. Tout dépend de votre pratique : il m’est arrivé d’utiliser mon 600 mm pour faire du paysage à main levée face au soleil couchant, le temps de pose n’était vraiment pas le problème, le cadrage un peu plus.
Le trépied permet d’éliminer les légers mouvements que vous créez en tenant un appareil photo, y compris celui créé lors du déclenchement (vous générez toujours un micromouvement au moment de déclencher). S’ajoutent les mouvements créés par les vibrations internes de l’appareil (mouvement du miroir et obturateur mécanique pour les reflex), les hybrides ayant l’avantage d’avoir une obturation totalement exempte de mouvement avec leur obturateur électronique.
Pour réduire ces très faibles mouvements, il est possible d’utiliser soit le retardateur de l’appareil, soit une télécommande pour déclencher l’obturateur.
Si néanmoins vous décidez de photographier à main levée n’oubliez pas de choisir un temps de pose en relation avec la focale utilisée. N’oubliez pas le coefficient multiplicateur de 1,5 x si vous utilisez un boitier au format APS-C, idem si vous adaptez un convertisseur sur votre objectif.
Utiliser un téléobjectif en photographie de paysage, conclusion
La photographie de paysage avec de longues focales ne peut que rarement être improvisée. Elle nécessite un minimum de préparation en amont, au même titre que la photo de paysage en général dès que vous désirez obtenir un résultat autre que la photo « souvenir ».
Prenez le temps d’expérimenter, de connaitre et reconnaitre les effets obtenus avec un téléobjectif, et surtout faites des photos !
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Bonjour,
La lecture de votre article m’a amené à réfléchir sur l’achat d’un zoom 70-200 f2.8.
Je possède un zoom tamron 100-400 f4.5/6.3.
Mon interrogation est la suivante : à ouverture identique, 7.1 par exemple, la profondeur de champ sera-t-elle identique ou bien plus importante sur le zoom 70-200.
Cordialement.
A ouverture identique ET focale identique ET distance de map
Identique la profondeur de champ sera la même. Il faut considérer l’ensemble et non pas l’ouverture seule.
encore une fois , merci NIKON PASSION , apprendre..toujours apprendre…et surtout découvrir, avec des explications simples à la portée de tout le monde et aussi des vidéos en complément . en lisant cet article je n’aurai plus peur de ne pas réussir mes photos de paysages avec mon téléobjectif SIGMAT 100/400 .
je vais mettre de suite en applications sur le terrain toutes ces explications.
cordialement jc
Je vais avoir maintenant le temps de mettre de l’ordre dans toute une vie de photographie. Cet articles me redonnent l’élan qui me manquait. Des photos sensationnelles et de façon générale Nikon passion est toujours très inspirante …
Merci – Michel
Bonjour. Je constate que tes photos illustrant cet article sont prises avec des temps d’obturation « classiques » alors que celles de Philippe le sont avec des temps beaucoup plus courts (1/1250, 1/6400 !). Raisons, aventages, … ? Vincent
Bonjour !
Vous ne parlez pas de la zone netteté . Pour avoir une telle netteté des premiers plans et des plans lointains sur vos photos avec les ouvertures et les focales que vous utilisez, je suppose que vous utilisez le focus stacking ?
Merci de cet article. En fait je m’aperçois que je pratique cela depuis bien longtemps, avec mes moyens (je n’ai pas de « gros » objectifs, juste un 85 mm et un 35-100 mais comme je travaille en micro 4/3 c’est déjà pas mal…) et je ne pensais pas que pour d’autres cela pouvait être une question. En fait, je crois même n’avoir à peu près jamais ressenti l’envie ni le besoin de photographier des paysages en courte focale… Comme quoi il est extrêmement utile de lire des avis, des conseils, de découvrir qu’il y a d’autres pratiques que la sienne et que justement sa propre pratique peut être considérée par d’autres comme un peu « exotique ». Merci à Philippe Ricordel… et à Jean-Christophe qui l’a invité !
Très beau article comme toujours Nikon passion donne de très bon conseil, est mon site préféré depuis des années je traine mon appareil photo depuis 48 ans des les début de votre site il m’a toujours accompagne avec vos articles du matériel et conseil pour choisir mes appareil que se soit la macro ou toute autre type de photo je vous dit seulement merci merci
Bonjour,
Merci pour ce bel article.
Y a-t-il une quelconque contre indication à utiliser un objectif prévu plutôt pour la macro comme le sigma 105mm F2.8 EX DG OS HSM, pour de la photo de paysage ?
belle synthèse. Merci aux concepteurs
Bonjour. Merci pour vos articles et votre lettre.
J’ai une question à propos des téléobjectifs : dans vos deux articles sur le sujet, les photos de paysage sont d’une grande netteté. Est-ce dû à la qualité de vos objectifs, à la pureté de l’air ou au développement des photos (post-traitement) ?
Mon expérience en photo animalière est que, si le sujet est à plus de 30 mètres, il y a comme une brume qui nuit au piqué de la photo ; alors, pour les paysages… J’utilise désormais le 150-600 G2 de Tamron sur un D600, qui diminue le phénomène par rapport à mon ancien télé (un Sigma 120-400 mm avec stabilisation optique). Je serais content de savoir comment atteindre la netteté que vous obtenez. Merci d’avance pour votre réponse.
La qualité des photos est le résultat de la qualité de l’objectif, des réglages de prise de vue et du traitement. La plupart des photos montrées ici par Philippe sont faites avec des téléobjectifs pros, ce qui fait une différence aussi par rapport aux optiques plus courantes comme les 150-600.
Merci pour votre article , car je viens d’acheter le 200-500 , f5.6 nikon et a moi de l’apprivoiser au mieux .