La photographie est un univers fascinant et diversifié, mais aussi galvaudé par de fausses croyances, règles et pratiques qui peuvent freiner vos ardeurs et vous faire tomber dans le piège du conformisme en photographie amateur. Je lis souvent des constats qui me semblent limitants et parfois erronés. J’en reçois, aussi, comme celui auquel je réponds aujourd’hui.
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Les constats auxquels je réponds ci-dessous m’ont été envoyés par un lecteur de ma Lettre photo quotidienne. Lorsque j’ai lu son message, réalisant que je n’étais pas d’accord avec tout ce qui était dit, je lui ai proposé d’en faire une réponse publique. La voici, avec en italique les propos de mon lecteur. Les photos qui illustrent l’article sont extraites de mes déambulations photos.
La diversité des clans et des matériels dans la photographie amateur
les travaux de la gare de Vitry Centre pour le Grand Paris Express – photo (C) JC Dichant
R: Le monde de la photo amateur englobe en effet les débutants comme les experts. Les profils sont variés, du simple preneur d’images avec son smartphone au photographe qualifié avec son équipement haut de gamme.
Je ne suis par contre pas d’accord avec ce lecteur sur la notion de clans. Il a existé une guerre fratricide entre adorateurs de marques, la rivalité Nikon-Canon par exemple ayant battu son plein à l’époque des reflex. Ce n’est plus le cas de nos jours. Je n’ai encore rencontré aucun photographe, censé, contestant le bien-fondé d’une marque qui n’est pas « la sienne ». Il n’y a guère que sur quelques forums de technophiles que cela peut encore arriver, ils ne sont pas représentatifs du monde de la photographie amateur.
Je ne crois pas non plus que les amateurs choisissent leur matériel en fonction de ces clans. Ils le font soit en fonction de leur budget, cas le plus fréquent, soit en fonction de leur plaisir à posséder un « beau matériel ». Dans ce dernier cas, je préfère d’ailleurs parler de possesseurs d’appareils photo plutôt que de photographes amateurs.
Quant à utiliser différentes marques d’appareils photo, c’est commun de nos jours. Le point de bascule est arrivé avec les smartphones photo qui ont fait prendre conscience à tous les amateurs (et à certains pros) que « leur matériel historique » n’est pas le seul à pouvoir répondre à leurs attentes. L’arrivée des hybrides, et la segmentation des gammes associée, a permis de dissocier marque du boîtier et marque de l’objectif grâce à une bien plus grande compatibilité que dans le monde du reflex. Il n’est pas rare de croiser un photographe équipé d’un boîtier Nikon Z et d’un objectif Sony E par exemple.
Se définir comme électron libre lorsqu’on fait cela n’a pas de sens, je suis moi-même utilisateur de matériel Nikon comme d’autres marques lorsque j’en ai besoin ou envie. Je ne me sens pas électron libre du tout.
La préférence pour le JPG et la fracture avec les experts
scène nocturne au centre de tri et valorisation des déchets de Paris Quai d’Ivry – photo (C) JC Dichant
Q: Les photographes amateurs utilisent majoritairement le format JPG, tandis que le format RAW est souvent réservé aux experts, créant une fracture importante entre ces deux groupes. Le format RAW est perçu comme complexe et réservé aux professionnels, alors que le JPG est plus accessible mais limite les possibilités de post-traitement. De plus, les amateurs utilisent divers logiciels de traitement (DPP, XN-View, Capture NX, Lightroom, Photoshop), ce qui pose des problèmes de compatibilité et complique l’échange et le traitement des photos, notamment pour les expositions.
R: Les photographes débutants utilisent le format JPG parce que leur appareil photo est réglé ainsi par défaut, parce que c’est plus simple, et parce qu’ils n’ont pas conscience de ce que le post-traitement d’un RAW peut leur apporter.
Les photographes amateurs sont toutefois nombreux à privilégier le RAW, de plus en plus simple à utiliser avec les logiciels actuels.
Pour moi, la différence est à chercher ailleurs. Le JPG est le format rapide par définition, utilisable sans délai, répondant à des besoins de consommation immédiate sur les réseaux sociaux par exemple. A l’inverse, le RAW incite à la prise de recul, à savoir ce que l’on veut faire de ses photos. Deux formats pour deux usages distincts.
Je ne suis pas d’accord non plus avec les soi-disant problèmes que les différents logiciels peuvent créer. Lorsqu’un photographe expose, il trie et prépare ses fichiers avant de les tirer. Peu importe le format et le logiciel. S’il a besoin de transmettre ses fichiers à quelqu’un qui utilise un autre logiciel, il le fait à l’aide des formats pivots bien connus, PSD ou TIFF par exemple. Je ne vois aucun problème d’incompatibilité à ce niveau.
L’uniformité des compositions avec la règle des tiers
portrait féminin – lac de Créteil – photo (C) JC Dichant
Q: En photographie amateur, la composition est souvent limitée à l’application de la règle des tiers et aux points forts, ce qui conduit à une uniformité des clichés. Les photographies suivent une approche académique classique, et toute tentative de varier le cadrage ou de proposer des compositions non conventionnelles (comme des cadrages carrés ou des flous artistiques différents du bokeh) est souvent contestée ou considérée comme incorrecte, limitant ainsi la créativité des photographes amateurs.
R: Ce que j’observe chez les amateurs est tout autre :
- les plus débutants ne considèrent pas la composition, ils n’ont pas encore pris conscience de son importance,
- les plus experts l’ont appris et mettent eu œuvre les principes associés.
Ramener ce débat à la seule utilisation, ou non, de la règle des tiers (qui fait elle-même débat) est réducteur. Ce que je vois plutôt dans le constat de ce lecteur, ce sont les reproches qui ont pu lui être faits par d’autres photographes peu éclairés en matière de composition, mais s’autorisant toutefois à donner un avis péremptoire. Ou, à l’inverse, le fait d’avoir montré des photos sortant tellement des principes établis que celui qui les commente ne comprend pas.
N’oublions pas que l’ego est omniprésent dans le monde de la photographie, il peut parfois nous laisser penser que c’est l’autre a tort, ce qui n’est pas toujours si vrai.
L’importance des compétences du photographe sur le matériel
la BNF Mitterrand de nuit – photo (C) JC Dichant
Q: La qualité des photographies ne dépend pas uniquement du matériel utilisé mais surtout des compétences et de l’œil du photographe. Cette réalité soulève des questions sur les compétences requises et les objectifs à atteindre en photographie amateur. Il est essentiel de se demander pourquoi et dans quel but on prend des photos, car ces questions orientent les compétences nécessaires et les choix techniques. Le débat porte sur l’importance relative du matériel par rapport à l’expertise du photographe dans la réalisation de bonnes photographies.
R: Si vous lisez ma Lettre photo quotidienne, vous savez que je suis le premier à défendre cette thèse. Mais je ne soutiens pas non plus celle qui voudrait que « ce n’est pas le matériel qui fait la photo, c’est le photographe ». Certaines photos ne peuvent pas être faites avec un matériel inadapté, même si le photographe est surdoué.
Ce que je vois là est plutôt un débat sur ce que représente la photographie pour les amateurs. Pour certains, c’est une façon de créer des souvenirs, des marqueurs du temps qui passe. Ceux-là ont juste envie d’un appareil photo qui leur donne des images techniquement correctes.
Pour d’autres, il s’agit d’une forme d’expression, d’une pratique artistique. Ils proposent leur vision, ce qui ne suppose aucun matériel particulier, souvent un simple smartphone suffit.
Ces deux catégories de photographes amateurs ne s’opposent pas, elles diffèrent. Tout le monde ne cherche pas à s’exprimer au travers de la photographie. Mais ceux qui le font savent que le matériel n’est pas la clé mais l’outil au service de leur art.
L’envie de transmettre « une vision », « une émotion », « une influence »…
l’église de Vitry sur Seine de nuit – photo (C) JC Dichant
Q: La gestion de la profondeur de champ et le choix des objectifs sont cruciaux pour transmettre une vision, une émotion ou une influence à travers la photographie. Les photographes doivent maîtriser la relation entre le net et le flou, ainsi que le cadrage, pour réussir leurs compositions. Cependant, les limites techniques des objectifs, comme la diffraction, imposent des contraintes. Le choix d’un objectif, que ce soit un 10 mm, 50 mm, 100 mm, ou plus, affecte significativement le type de photo et la capacité à exprimer sa vision personnelle.
R: Plusieurs notions se mélangent ici, toutes très techniques : gestion de la profondeur de champ, relation entre le net et le flou, diffraction… Quel photographe amateur se pose ces questions ? Même le choix de la focale n’est pas le sujet chez la plupart des amateurs. Eux veulent « un objectif qui zoome fort », un objectif « pour les paysages », un autre pour les portraits » et ne veulent surtout pas entendre parler de lois optiques. Je leur donne raison.
Ce qui est exprimé ici est orienté : vouloir « transmettre une vision, une émotion ou une influence à travers la photographie » n’est pas le propos de tout photographe amateur. C’est manifestement celui de ce lecteur, c’est tout à son honneur, mais vouloir faire en sorte que tout le monde adopte le même raisonnement n’est pas la bonne approche. « Il faut de tout pour faire un monde ».
A propos du conformisme en photographie amateur, je vous recommande ce livre de Michael Freeman.
Les règles strictes du beau en photographie amateur
tags sur des protections de chantier – Vitry sur Seine – photo (C) JC Dichant
Q: La photographie amateur est régie par des règles esthétiques strictes qui définissent ce qui est considéré comme « beau ». Par exemple, un ciel doit être bleu et l’herbe verte. Ces règles, bien qu’ayant un certain fondement, limitent la créativité et la capacité à expérimenter. Transgresser ces normes est difficile et souvent mal vu dans la communauté photographique amateur, rendant l’innovation et l’expression personnelle compliquées pour ceux qui souhaitent sortir des sentiers battus.
R: Je ne partage pas cet avis. Tous les amateurs ne cherchent pas à montrer un ciel bleu et de l’herbe verte. La plupart, par contre, cherchent à montrer ce qu’ils ont vu. C’est la différence entre eux et ceux qui, comme ce lecteur, cherchent à partager une vision. C’est la différence entre vision et réalité, « entre document et expression » pour reprendre la formulation d’André Rouillé dans « La Photographie ».
Là où je rejoins ce lecteur, c’est dans l’appréciation faite par trop de photographes amateurs des photos contemporaines, « du quotidien ». Je lis bien souvent des remarques comme « je ne comprends pas ce qu’il y a à voir », « j’aurais pu faire la même » ou encore « c’est de l’art ça ? ». Apprécier une photo de paysage, de sport, de nature, un portrait est simple. Apprécier une photo qui suggère plus qu’elle ne montre, qui met en valeur un détail d’une scène plus globale, c’est plus complexe. Le débutant a du mal, le conformisme en photographie amateur règle trop souvent en maître.
La complexité de réaliser des photos personnelles sans respecter les règles
les travaux de la gare de Vitry Centre pour le Grand Paris Express – photo (C) JC Dichant
Q: Réaliser des photos personnelles devient complexe lorsque les règles établies ne sont pas respectées. Les clubs et communautés en ligne répètent souvent que les règles peuvent être transgressées une fois la technique maîtrisée, mais cette idée crée une temporalité incertaine. Les amateurs se retrouvent dans une attente perpétuelle de validation technique avant de pouvoir innover, ce qui freine leur développement artistique et l’expression de leur vision unique.
R: Il est vrai de dire que le photographe amateur, une fois qu’il a compris que la photographie met en œuvre des principes, a tendance à vouloir les appliquer sans cesse en se disant que ce sera forcément apprécié. C’est le problème de confondre règles, principes et outils. Appliquer sans cesse les mêmes règles amène à l’uniformité, c’est évident. Utiliser sans cesse les mêmes principes et outils permet de s’éloigner de cette uniformité tout en diversifiant ses images.
Je ne suis pas non plus d’accord avec l’idée que le photographe amateur devrait innover, développer une pratique artistique et une expression de sa vision unique. Comme je l’ai mentionné plus haut, tous les amateurs ne cherchent pas à s’exprimer en photo. Il ne faut donc pas vouloir faire de tous des artistes, au risque de se tromper sur toute la ligne et de moquer le conformisme en photographie amateur.
J’irais même un cran plus loin, prenant le risque de choquer, en disant que quiconque veut partager sa vision par le biais de la photographie n’a pas besoin d’apprendre la photographie.
N’importe quel appareil photo actuel, utilisé en mode automatique, peut donner de bonnes photos. Vouloir quitter le mode auto, savoir prendre la main sur son boîtier, comment modifier les rendus par défaut est essentiel pour pratiquer la photographie documentaire. Mais ce n’est pas essentiel pour l’utiliser en tant que média artistique. De nombreux photographes connus comme moins connus ont produit des œuvres remarquables sans rien savoir du fonctionnement de leur matériel photo.
La technique perçue comme jamais totalement acquise
Bateaux dans le port du Conquet – Bretagne – photo (C) JC Dichant
Q: La technique en photographie amateur est perçue comme un objectif jamais totalement atteint tant que toutes les règles et codes ne sont pas appliqués. Cette perception limite la créativité, car les photographies qui ne respectent pas la règle des tiers ou d’autres normes académiques sont souvent jugées techniquement insuffisantes. Même si le choix de composition est intentionnel, il est souvent rejeté par les pairs, ce qui décourage les photographes de s’écarter des sentiers battus et de démontrer leur propre vision artistique.
R: On se répète. Je perçois toutefois ici un ressenti personnel de l’auteur de ce message, qui a pu subir quelques contrariétés en montrant ses photos. Je comprends que cela soit difficile à accepter. Mais si c’est le cas, l’erreur me semble être dans la démarche.
Si vous faites des photos qui montrent une vision personnelle, qui sortent des sentiers battus, qui ne respectent pas les règles, ne cherchez pas à obtenir la reconnaissance des photographes qui pratiquent la photographie documentaire. Adressez-vous aux auteurs dont le monde est plus proche du vôtre, aux professionnels du monde de la photo à même de vous comprendre, aux artistes, même s’ils ne sont pas photographes.
En conclusion : la difficulté d’un regard libre en photographie amateur
Non, il n’est pas difficile d’avoir un regard libre et personnel quand on est photographe amateur. Non, aucun conformisme en photographie amateur ne vous est contraint ni imposé.
Si vous avez une approche personnelle, un regard singulier, si vous traitez des thèmes peu communs, et que tout cela peut dérouter les autres, tant mieux. Cela signifie que vous avez réussi à exprimer quelque chose de personnel, que vous avez compris ce que peut être la photographie pour vous. Alors pourquoi ne pas le montrer ? Si vous avez fait tout ça, ne pas montrer vos images c’est ne pas finir votre travail.
Faut-il pour autant tout montrer en public ? Non. Rien ne vous impose de tout dévoiler, certains projets peuvent rester confidentiels, et c’est tant mieux. L’omniprésence des réseaux sociaux peut laisser penser qu’il faut tout montrer, qu’il faut obtenir la reconnaissance des autres, qu’il faut faire valider vos images. C’est faux.
Je ne sais pas si ce billet a pu vous apporter quelque chose, si tant est que vous l’ayez lu jusqu’à la fin. Si c’est le cas, félicitations, et prenez quelques minutes de plus pour laisser votre avis via les commentaires ci-dessous.
Ce lecteur m’a encouragé à partager mes réponses, je l’en remercie. Je suis d’accord avec certains points évoqués, pas d’accord avec d’autres, et il est probable que lorsque je relirai ce sujet dans quelques mois, je puisse être amené à faire des réponses différentes. Il en est de même en photographie, et c’est ce qui fait sa richesse : revenez chaque jour au même endroit, vous n’y ferez jamais la même photo, et elles seront toutes intéressantes.
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Bonjour,
Cet article est fort intéressant, le lecteur a manifestement une vision très personnelle de la pratique photographique amateur.
Et c’est tout à son honneur.
Respecter des règles pré établies au début de sa pratique est normal ,et on copie ce qu’on apprécie. C’est la pratique sur la longueur qui permet ensuite de trouver ses propres préférences et de s’en éloigner. S’affranchir de toute règle dès le départ c’est vite se perdre puis abandonner.
Concernant le matériel et la technique, qu’importe la marque (personnellement j’adore Pentax que je maîtrise depuis de nombreuses années et dont la fiabilité est à toute épreuve), le tout est de s’y retrouver en termes d’ergonomie. La technique est nécessaire quand on décide de tout maîtriser pour aboutir à une photo qui représente vraiment ce qu’on voulait montrer. C’est nécessaire sur la pratique longue, et source de beaucoup de joies, mais ce n’est qu’un moyen de maîtriser son expression. Pour un témoignage éphémère, elle n’est pas obligatoire.
Bref, on se pose beaucoup de questions sur notre pratique, et c’est normal quand on veut progresser (dans le sens d’acquérir de nouvelles compétences pour élargir son champ des possibles) mais il faut garder la notion de plaisir. Quand je photographie, j’éprouve beaucoup de plaisir, quand je développe j’en éprouve aussi ,et tant mieux si des personnes passent un bon moment en regardant ce que j’ai fait. Tout en ayant en tête que je suis mon premier (et souvent unique) lecteur, et que c’est avant tout dans mon cas une rencontre avec moi même, une sorte de moment intime…
Questions intéressantes, et réponses parfaites.
Bravo pour ce travail non « conformiste » !
Article intéressant sur le fond et sur la forme, merci, il est en effet bon de réfléchir à notre pratique, ce Q/R y participe
Bonjour,
Ce sujet en parti relatif à la perception photographique est fort intéressant car il permet de démocratiser nos approches de la photo en tant qu’amateurs. En effet, je pense que dans les premiers temps, il n’est nul besoin de tout maitriser (technique, matériel etc..) pour se faire plaisir et oser montrer nos photos, nos travaux. Pour ma part, le besoin de me perfectionner s’est fait au fur et à mesure des rendus que je souhaitais obtenir et du message, de ma perception du moment que je souhaitais faire passer dans mes photos. Chacun a ses objectifs et ses plaisirs photographiques qui lui permettent de s’exprimer quand bon lui semble, cela peut être un sujet qui lui tient à coeur, de simples souvenirs, de vouloir transmettre aux lecteurs une intention particulière au travers de ses images.. Seul le plaisir de photographier et montrer ses images n’est il pas le plus important..?
Un grand merci à toi Jean-Christophe pour tes quotidiennes, ainsi que le partage que tu nous autorises entre pratiquants. Car c’est bien de nos différences et de nos partages d’expériences, de nos doutes, de nos peurs que l’on s’enrichit ici, trouvons des solutions à nos questions et de dédramatiser certaines situations que nous vivons ou avons rencontré.
Un grand merci à tous. Je vous souhaite beaucoup de plaisir à votre pratique de la photographie et osez montrer vos photos.
Bonjour, merci beaucoup pour ce message très intéressant, qui m’a redonné l’envie de montrer mes photos, même si elles ne plaisent pas à tout le monde. Mais il faut bien voir que sur les réseaux certaines personnes ont besoin d’exister dans la critique…C’est comme ça, de toute façon les artistes le savent bien, il n’y a pas d’art qui ne charrie pas son lot de critiques. Mais il ne faut pas écouter que ces personnes, les avis positifs ont leur valeur aussi 🙂 Au moins pour se remonter le moral et l’amour-propre !!