Comment photographier un spectacle de danse quand la lumière manque, que les danseurs bougent rapidement et que vous ne pouvez pas vous placer où vous le voulez ? Quel objectif utiliser, quels réglages choisir ?
Je photographie souvent des spectacles de danse et j’ai fini par adopter des comportements qui me permettent d’avoir un taux de réussite satisfaisant (je vous en parle ici en vidéo). Voici quelques conseils et les grands principes qui vont vous aider à réussir vos photos de danse vous-aussi.
Pour photographier un spectacle de danse, anticipez !
Pour réussir au mieux cette épreuve qui s’avère complexe, il va vous falloir anticiper au maximum. Si vous arrivez au dernier moment sans connaître ni la taille du plateau, ni celle de la salle, ni les conditions d’éclairage, ni la durée du spectacle, ni les temps forts, ni … vous partez perdant.
Vous devez donc poser quelques questions à celui ou celle qui va danser, aux organisateurs, aux professeurs, aux chorégraphes … avant la représentation, deux ou trois jours si possible, afin d’anticiper :
- combien de danseurs seront présents ?
- quelles seront les dimensions de la scène ?
- combien de temps durera le spectacle ?
- quelles seront les éclairages utilisés ?
- de quel type de danse s’agira-t-il ?
- quels sont les emplacements possibles pour vous (sans déranger) ?
- quelles sont les contraintes connues ?
Si vous en avez la possibilité, faites votre possible pour suivre le déroulement d’une répétition, la générale de préférence qui permet d’avoir l’ensemble des danseurs, les costumes et les éclairages en condition de spectacle. Vous pourrez alors faire une première série de photos, regarder ce que cela donne et ajuster au mieux vos choix pour le Jour J.
Comment bien vous placer
Les spectacles de danse, particulièrement dans les écoles, se font sur divers types de scènes : une simple salle, une estrade, une scène de théâtre, un plateau professionnel, tout est possible. Il va vous falloir trouver le meilleur emplacement pour être au plus près des danseurs sans déranger ni ces danseurs, ni le public.
Une chose est sûre : en vous plaçant au fond de la salle, vous serez gêné par les personnes devant vous. Or pour cadrer correctement, vous avez besoin d’un champ libre.
83 mm – ISO 6.400 – 0,5 sec. – f/4 – Photo (C) JC Dichant
Un téléobjectif ne vous sauvera pas, car qui dit téléobjectif, mouvements rapides et faible lumière dit temps de pose long, voire très long en intérieur et donc risque de flou.
Si vous vous placez parmi le public, vous aurez à coup sûr quelqu’un devant vous qui vous empêchera de cadrer en toute liberté (si ce n’est pas un spectateur qui a la brillante idée de filmer avec sa tablette pendant toute la durée du spectacle, c’est du vécu …).
Tenez aussi compte du type d’appareil photo que vous utilisez. Un reflex et son miroir qui claque à chaque déclenchement ne sera pas adapté dans la salle, vos voisins vont vite vous le faire remarquer et ils auront raison. En bord de scène, vous risquez de déranger les danseurs. Sachez que le déclenchement d’un reflex, quel qu’il soit, s’entend quand on danse, tous les danseurs le disent.
La solution ? Arriver bien en avance et vous placer devant la scène, au pied des premiers rangs de spectateurs. Osez. Si vous vous faites discret et si de plus vous avez expliqué votre démarche au préalable, tout se passera très bien.
Placez vous de préférence dans l’axe médian de la scène, c’est préférable pour :
- cadrer de face,
- éviter les éléments indésirables dans l’arrière-plan (sur le côté vous risquez de voir les accessoires, machines, danseurs qui attendent, profs …),
- les déformations (un décor vu de profil est déformé sur les photos),
- les problèmes de perspective selon la focale utilisée (un grand-angle déforme si le cadrage est latéral).
Assurez-vous de ne jamais gêner la vue des personnes du premier rang, d’avoir avec vous dans votre sac photo posé au sol tout ce qu’il vous faut (batterie de rechange, cartes mémoire, objectifs au besoin). Une fois installé, vous ne pouvez plus bouger pendant la durée du spectacle, en général.
Choisir le bon format d’image
Photographier un spectacle de danse, c’est composer avec le mouvement mais aussi, et surtout, avec la lumière. Les lumières même. Si l’éclairagiste a bien fait son travail, guidé par les professeurs, il a mis en place des éclairages spots, des poursuites, des éclairages du décor de fond, … Vous devez tenir compte de tout ça pour réussir vos photos.
59 mm – ISO 6.400 – 1/250 sec. – f/4 – Photo (C) JC Dichant
Le premier problème que vous avez à gérer, c’est le réglage de balance des blancs. Ce type d’éclairage est très difficile à évaluer car les températures de couleur sont toutes différentes, les couleurs changent.
L’idéal pour vous en sortir avec les honneurs est d’éviter le format JPG qui interdit toute modification de la balance des blancs ultérieure. Choisissez le format RAW et la balance des blancs automatique. Une fois rentré chez vous, vous aurez la possibilité de caler avec précision la balance des blancs pour chaque série de photos, comme pour chaque photo.
Le second problème c’est le manque de lumière fréquent dans ces conditions. Vous allez devoir monter en sensibilité pour éviter les temps de pose trop longs et les flous inévitables. N’ayez pas peur de passer à 3.200, voire 6.400 ISO si votre boîtier le supporte.
Le format RAW vous offre plus de latitude en post-traitement pour réduire le bruit numérique. Retenez qu’il vaut mieux des photos un peu bruitées que des photos floues !
Comment gérer l’exposition
Quand vous photographiez un spectacle de danse, il est important de figer le mouvement des danseurs. Si votre temps de pose est trop long, et que l’ouverture maximale de votre objectif est trop modeste, vous aurez des photos floues, un danseur ça bouge !
Tenez compte de la focale utilisée : si vous avez un téléobjectif (70 mm ou plus) le temps de pose doit être plus court que si vous utilisez un grand-angle (35 mm ou moins).
90 mm – ISO 6.400 – 1/125ème – f/2.8 – Photo (C) JC Dichant
Tenez aussi compte de la distance au sujet : si vous êtes au pied de la scène, à deux ou trois mètres des danseurs (ça m’arrive couramment), même un grand-angle pourra vous donner des photos floues car le temps de pose sera encore trop long.
Dites-vous qu’un temps de pose inférieur au 1.250ème vous met en danger la plupart du temps. A 1/500ème vous êtes un peu plus en sécurité et à 1/1000ème de sec. vous êtes tranquille ou presque.
Si l’ouverture est au maximum (par exemple f/1.8) et les ISO aussi (par exemple 6.400 ISO), et que le temps de pose est encore trop long, il vous faut envisager d’autres solutions :
- laissez de côté votre zoom à tout faire à l’ouverture limitée et passez à la focale fixe ouvrant à f/1.8 ou f/1.4, vous gagnerez en netteté ce que vous perdrez en polyvalence de cadrage (il y a moindre mal),
- utilisez la correction d’exposition pour sous-exposer, ce qui vous fera gagner un stop ou deux que vous rattraperez aisément en post-traitement avec un fichier RAW,
- jouez le flou volontaire, un danseur dont le visage est net et les bras et jambes flous peut donner une jolie photo (le visage bouge souvent moins vite que les bras et jambes, ça vous aide).
35 mm – ISO 2.000 – 1/160ème – f/2 – Photo (C) JC Dichant
Pourquoi il faut bannir le flash !
Soyons clairs :
Utiliser un flash lors d’un spectacle de danse sans en avoir l’autorisation est une insulte aux danseurs, aux chorégraphes, aux professeurs, aux éclairagistes, au public.
Envoyer des éclairs de flash incessants, en plus du bruit de déclenchement s’il s’agit d’un reflex, c’est pénible pour tout le monde :
- les danseurs éblouis par vos éclairs et qui peuvent perdre le fil de leur chorégraphie,
- les encadrants qui ne peuvent plus gérer le déroulement de la représentation aisément,
- les éclairagistes qui sont perturbés par votre flash,
- le public qui ne voit que ça.
Sans compter que vous commettez la pire des erreurs en procédant de la sorte : vous dénaturez totalement la scène, vous cassez l’ambiance lumineuse et vous faites des photos banales.
53 mm – ISO 5.000 – 1/250ème – f/2 – Photo (C) JC Dichant
En cas de très faible luminosité, au lieu d’utiliser le flash privilégiez les objectifs lumineux ouvrant à f/2.8 voire f/1.8 ou f/1.4. Et sachez ne pas faire certaines photos si la lumière disponible ne le permet pas. Toute pratique a ses limites.
Déclencher au bon moment
L’instant décisif cher à Henri Cartier-Bresson ça vous parle ? Lorsque vous photographiez un spectacle de danse, vous ne devriez avoir « que » des instants décisifs. C’est ce qui fait le charme de cette pratique, et sa grande difficulté.
75 mm – ISO 3.200 – 1/250ème sec. – f/3.2 – Photo (C) JC Dichant
L’instant décisif c’est le saut du danseur, lorsqu’il est à sa hauteur maximale. C’est aussi le mouvement des membres lorsqu’il est à son amplitude maximale. C’est – encore – l’émotion qui se lit sur les visages, les regards, les gestes, tout ce qui fait que le moment est magique ou non.
Capturer ces instants à coup sûr n’est pas faisable. Ne pensez pas qu’il suffit de déclencher de ci de là pour faire des photos mémorables. Il va vous falloir beaucoup de patience, de la chance, du savoir-faire pour réussir. Mais c’est tout à fait faisable si vous anticipez.
Soyez toujours aux aguets : observez le mouvement des danseurs, écoutez la musique, les temps forts, les temps faibles, suivez les éclairages. Une chorégraphie n’est jamais faite au hasard : la relation musique-mouvement est fondamentale. Vous devez arriver à savoir quelques dixièmes de secondes à l’avance qu’il va vous falloir déclencher. Cela s’apprend, avec le temps vous serez de plus en plus à l’aise.
Si vous débutez, faites en sorte de mettre toutes les chances de votre côté. Procurez-vous des cartes mémoire rapides (voir comment les choisir) et utilisez le mode rafale de votre appareil photo. Prendre une seule photo par action c’est diviser par 3/4/5 vos chances de photos réussies. En rafale, la probabilité d’obtenir le bon geste, la bonne pose, le bon regard … la bonne photo est bien plus grande, mettez donc toutes les chances de votre côté ! Avec l’expérience vous apprendrez à vous passer de ce mode et à déclencher au bon moment, tout deviendra plus simple.
Sachez qu’il n’y a aucune honte à prendre 100 photos pour n’en conserver que 5 au final, personne ne vous jugera, seul le résultat final compte. Pour vous donner une idée, je fais en moyenne 600 photos pour un spectacle de 90 minutes, sans mode rafale (j’anticipe beaucoup et je déclenche plusieurs fois manuellement au besoin). J’en garde 25 s’il s’agit d’un travail à livrer, et moins de 20 pour ma sélection personnelle finale. Je supprime tout le reste une fois que les danseurs ont vu les images publiées.
Pourquoi faire des photos de tous les danseurs
Vous êtes parti pour photographier le spectacle de danse de votre enfant, mais qu’en est-il des autres ? Ce n’est pas votre problème, vous ne les photographiez pas ?
27 mm – ISO 6.400 – 1/180ème sec. – f/2.8 – Photo (C) JC Dichant
C’est une erreur. Pour trois raisons.
La première raison c’est qu’en photographiant les autres danseurs, vous apprenez. Vous multipliez les prises de vue, vous pouvez regarder sur l’écran de votre reflex ou dans le viseur de votre hybride ce que donnent vos réglages et quand vient le tour de votre enfant (s’il ne passe pas en premier …), vous êtes fin prêt. Les spectacles n’ont pas lieu chaque semaine, profitez de l’occasion pour pratiquer.
La seconde raison c’est qu’en photographiant tous les danseurs, vous pouvez faire plaisir à d’autres. Et la photographie est aussi – surtout ? – une question de plaisir. Offrir une photo réussie à un jeune ou sa famille et voir les regards s’émerveiller, ça n’a pas de prix. Ne manquez pas cette occasion d’être généreux. Vous pouvez même offrir des tirages papier, ça ne coûte pas bien cher et ça fait encore plus plaisir.
La troisième raison c’est qu’en photographiant tout le spectacle vous allez intéresser les professeurs et l’encadrement. Ils ont souvent peu de temps pour la photographie, voire pas du tout, et souvent pas les compétences non plus. Or garder une trace visuelle d’un spectacle est toujours intéressant quand on l’a créé. La plupart des spectacles de danse sont filmés désormais, mais cela ne remplace pas quelques belles photos. De plus si vos images sont de qualité, vous pourrez être invité à d’autres spectacles, autant d’occasions de pratiquer. Et, pourquoi pas, proposer une exposition de vos photos, ce qui est toujours un temps fort dans la vie d’un photographe.
Sachez que ce que souhaitent les professeurs, ce sont des photos d’ensemble, quelques portraits et surtout des visages bien éclairés.
Photographier un spectacle de danse ce n’est pas photographier un seul enfant en gros plan.
87 mm – ISO 6.400 – 1/200ème sec. – f/3.8 – Photo (C) JC Dichant
En conclusion
Photographier un spectacle de danse est une pratique difficile, qui demande du savoir-faire, un minimum de matériel et beaucoup d’humilité. Vous ne réussirez pas toutes vos photos dès la première fois.
Mais avec le temps, la pratique et avec un peu de patience, vous pouvez faire de bonnes photos que vous aurez plaisir à voir, à partager, à offrir.
Les conseils ci-dessus vous aident à démarrer, mais rien ne remplace l’expérience. Alors faites comme moi, dès que l’occasion se présente, foncez et … faites des photos !
A vous : quels sont les problèmes que vous rencontrez quand vous voulez photographier un spectacle de danse ?
Cet article vous a aidé ?
Recevez ma boîte à outils photo pour progresser en photo même si vous n'avez que 5 minutes par jour.
Bonsoir Jean Christophe. Le flash en effet pour ne servira à rien si ce n’ est déconcentré les danseuses. La professeur de ma fille est la présidente du jury. Or, elle m a déjà demandé des photos pour le Gala de fin d année. Le hic je viens de l apprendre elle a décidé de voir avec un professionnel. Je comprends mais elle n a pas à me refuser. J ai peur de ne pas avoir de recours. J apporterai mon 72 200 2.8 et je verrai bien. Mais elle risque de donner une mauvaise notation en retour. Je n apprécie pas la manœuvre. Car en fin d année elle est bien contente de trouver des photos réussies sans flou et qui font plaisir aux parents. Je n ai jamais rien demandé en échange. Je crois qu elle trouvera quelqu’un d’autre en fin d’année qui lui fera payer une prestation.
Bonjour à tous. Ma fille participe à un concours de danse weekend prochain à Tours. Il est soit disant interdit de prendre des photos. Juridiquement je voudrais avoir votre avis. On entend parfois aussi que cela est interdit avec un zoom mais ok avec une focale fixe.
Les organisateurs ne sont pas souples et je souhaite juste prendre des clichés de ma fille.
Le mieux est toujours de poser la question à l’organisation, en précisant bien l’usage personnel, le fait que vous ne ferez aucun bruit, pas de flash, pas de vidéo. Je n’ai encore jamais vu quelqu’un refuser dans ces conditions, et cela va toujours mieux en le disant avant.
Bonjour,
Dernièrement je me suis retrouvé face à une difficulté lors de ma prise de vue. Il s’agissait d’un spectacle de danse en très basse lumière, les 2 danseurs étaient éclairés par des lumières spot la plupart du temps et derrière eux était projeté une vidéo ( l’écran était dans l’ombre). Et je ne suis pas arrivé à faire ressortir l’écran, il ressort très sombre alors que les danseurs sont correctement exposés. Cela est-il dû à la mise au point point que j’ai faite sur les danseurs ? A la mesure de la lumière (j’étais en pondéré central)?
Bonjour,
Je me reconnais dans cet article. Papa de petites filles et photographe amateur depuis pas mal de temps, j’avais pris pour mon seul usage personnel des photos de leur premier spectacle de danse il y a quelques années. Content du résultat j’ai donné les photos au club de danse. Épatés ils m’ont demandé, depuis, de revenir tous les ans pour couvrir leur gala. Je leur ai même créé un site web illustré par ces photos.
Je ne suis pas équipé en matériel Nikon mais ce n’est pas important, ces conseils sont valables pour tous les boitiers. J’utilise un reflex APS-C avec des objectifs lumineux et un autofocus très rapide (85mm 1.8, 17-55mm 2.8) mais j’essaye autant que possible de ne jamais les utiliser à pleine ouverture pour maitriser la profondeur de champ. Je passe en priorité vitesse pour assurer au moins 1/200s histoire de figer les mouvements. J’autorise le boitier à monter à 6400 ISO et à légèrement sur-exposer si possible. En post traitement, baisser l’exposition et les hautes lumières permet de réduire le bruit numérique. Je n’utilise que les collimateurs centraux de mon appareils, ceux capables de verrouiller l’autofocus en basse lumière.
Si la scène est surélevée, je me place au ras de la scène (un monopode peut être utile). Shooter au ras du sol permet alors d’obtenir un effet miroir. Sinon je suis assis par terre pour ne surtout pas photographier en plongée les petits danseurs. Dans les grandes salles de type théâtre c’est assez facile, dans les petites salles comme les salles des fêtes c’est difficile, rien n’a été prévu pour faciliter le travail d’un photographe.
Autre point important, ne jamais cadrer serré. Il faut prendre de l’espace autour du sujet puis, en post traitement, recadrer, désincliner si besoin et appliquer les règles de composition. Avec le temps je me permet maintenant d’influencer les organisateurs pour le choix du fond de scène et des lumières (marre du devant de scène mal éclairé) et s’ils peuvent éviter les éclairages à LEDs c’est tant mieux. Un bonne préparation et d’assister à la répétition générale. Inutile de prendre des notes, dans le feu de l’action et dans une salle sombre vous ne pourrez pas les relire. C’est incroyable comme en ayant déjà vu le spectacle vous arriverez à anticiper les moments clés à immortaliser.
Pour le reste tout est déjà dit dans l’article. Merci.
Oui, bon article oú l’on reconnaît bien les pb rencontrés, le pire étant les projecteurs LED… mais qui n’est rien en comparaison du vrai problème : le fumigène ! Combiné à la lumière crue des LED cela devient compliqué à moins de pouvoir s’approche très près ! Mais pour le fin de scène c’est presque impossible de réussir le batteur par exemple, la fumée vient du fond, normalement et est plus épaisse à ce niveau ! Bon des fois coup de chance, la fumée participe à la composition mais c’est rare ! Une solution ou un truc ?
Bonjour,
Très rarement.
L’an dernier j’étais exactement dans le cas que vous citez : le spectacle de danse de ma fille. J’avais commencé au 80-200 f2;8 depuis le 4e rang et ai terminé au 16-85 stabilisé. Bêtement, je n’ai pas pensé au 50 mm et sa grande ouverture. Avec le capteur APS-C il aurait été bien adapté comme petit télé.
Bonjour,
Excellent tutoriel. Merci !
Eventuellement aussi jouer du correcteur d’exposition en matricielle ou utiliser la mesure spot pour éviter le fond gris et les danseurs surexposés.